Je suppose que plusieurs d'entre vous ont vu ces vidéos sur facebook.
Et ce que j'ai surtout envie de dire à ce monsieur (si on peut appeler cet énergumène monsieur!), c'est qu'il devrait plutôt se mêler de ses affaires. Un type pareil, qui vient d'un pays où les femmes n'ont même pas le droit à une carte d'identité nationale, où elles n'ont pas le droit de conduire une voiture, où elles ont besoin d'un tuteur pour tous les actes de leurs vies, veut nous donner des leçons sur la liberté!
Quelle liberté accordent-ils donc à leurs femmes en Arabie Saoudite?
Quelles droits accordent-ils donc à leurs femmes?
Que sont-elles? Et je fais exprès de dire QUE sont-elles et non pas QUI sont-elles!
Des sous-citoyennes?
De quel droit veut-il nous donner des leçons lorsque chez eux ils laissent brûler 15 jeunes filles dans une école en feu sous prétexte qu'elles n'avaient pas le droit de sortir de ladite école sans voile?
De quel droit veut-il nous donner des leçons lorsque les femmes chez eux sont lapidées sur les places publiques?
De quel droit veut-il nous donner des leçons alors que chez eux ils se permettent de se marier avec des enfants en bas âge et même des nourrissons?
De quel droit veut-il nous donner des leçons alors qu'il est connu que chez eux ils ont tous des gholmène (jeunes garçons) qu'ils violent?
De quel droit?
Le plus malheureux, c'est que ce genre d'énergumène passe à la TV. Que des gens l'écoutent, et surtout que des gens le croient. Écoutez-le, il est convaincant. Son ignorance et sa bêtise sont contagieuses...
Et ensuite on s'étonne. Pourquoi cette intolérance? Pourquoi cette haine entre les gens? Pourquoi cette montée d'intégrisme?
Fiche-nous la paix petit c**. Occupe-toi de tes propres affaires.
Fichez-nous la paix. Occupez-vous de vos pays. Occupez-vous de vos problèmes. Occupez-vous de l'hypocrisie qui règne dans vos pays. Occupez-vous de toute la pourriture qu'on y trouve.
Inta 3omri de Khaled Youssef. J'ai vu ce film 10 000 fois, et à chaque fois, il y a un dialogue qui m'émeut énormément. A chaque fois, l'émotion ne s'estompe pas. Et mes larmes coulent. J'avoue que je suis très fleur bleue et j'ai la larme facile. Et des larmes, j'en verse à chaque fois que je regarde ce film.
L'histoire est toute simple et banale, mais j'adore les dialogues. Ils sont très forts. Je sais que c'est subjectif comme sentiment ou impression, mais moi à chaque fois, cela me fait presque mal.
Il s'agit d'un jeune couple très amoureux. Ils vivent avec leur petit garçon. Un jour, le jeune époux, Youssef, découvre qu'il est atteint de leucémie. Comme il ne veut pas faire souffrir sa famille, il ne dit rien et va passer le restant de ses jours dans une sorte de sanatorium. Il y fait la connaissance de Chams, une danseuse atteinte elle aussi de leucémie. Le médecin traitant, pensant que le moral influe sur la santé, va essayer de rapprocher les 2 malades pour qu'ils se soutiennent mutuellement, et ils finissent par tomber amoureux l'un de l'autre. L'épouse va remuer ciel et terre pour retrouver son mari. Elle le retrouvera, mais avec Chams.
Que se passera-t-il? Laquelle des deux femmes doit rester auprès de Youssef? Lequel des deux amours est le plus légitime? Qui se sacrifiera? Au nom de quoi?
Lorsque l'épouse retrouve son mari et découvre sa liaison avec Chams, elle est anéantie.
Sa douleur est palpable. Elle est atroce. Horrible.
Ses cris sont révoltants de souffrance. Le dialogue entre elle et son beau-père est... Je ne trouve vraiment pas de qualificatif.
Le docteur essaye de lui expliquer qu'elle doit s'éclipser et que la vie de son mari dépend de son amour pour Chams.
J'adore ce dialogue (à 1h39mn23s). Je la comprends. Je la comprends parfaitement. Je comprends cet amour qu'elle a pour son mari. Je comprends et ressens chaque mot qu'elle dit.
Le médecin lui dit qu'il s'agit d'une histoire de vie ou de mort.
- Elle: Vous me demandez de faire un choix. Quel choix? Un choix entre sa mort à elle ou ma mort à moi?
- Lui: je ne parle pas de Chams, je parle de Youssef.
- Elle: Donc vous me demandez de faire un choix entre sa mort à lui et la mienne?
- Lui: Votre mort?
- Elle: Bien-sur ma mort! Vous pensez que Youssef est pour moi juste un époux et que je suis juste une épouse idiote et jalouse? Non. Non pas du tout. Youssef est pour moi l'air avec lequel je respire. Et j'ai besoin qu'il me revienne pour que je puisse vivre. J'ai essayé. J'ai essayé de vivre sans lui. Avant de partir il m'a appris à faire certaines choses sans lui, il lui a semblé que je les avais apprises, mais Il a oublié de m'apprendre la chose la plus importante: il a oublié de m'apprendre à vivre sans respirer.
Lui: Mme Hend, je comprends ce que vous dites..., mais j'ai le regret de vous annoncer qu'il pourrait mourir s'il restait avec vous
Elle: Pourquoi? Que lui ai-je fait pour que sa vie dépende d'une femme, et que cette femme ne soit pas moi? L'a-t-elle aimé plus que je ne l'ai aimé? Lui a-t-elle donné sa vie passée et est-elle prête à lui donner sa vie future? Est-ce avec elle qu'il a eu un fils? Tout cela c'est moi et pas elle!!!
Lui: personne ne vous dénie tout cela Mme Hend, y compris Youssef, mais il y a un fait nouveau maintenant et nous devons en tenir compte avec un maximum de compassion( rahma).
Elle: De compassion? La compassion veut dire que s'il doit mourir, il mourra dans mes bras. Je ne pourrais pas vivre un seul instant s'il vivait dans les bras d'une autre femme.
Un autre dialogue m'a paru très fort. La discussion entre Chams et Hend. Chams est pleine de remords et essaye de se justifier.
Mais la réponse de Hend est forte:"Ceux qui veulent vivre ne doivent pas vivre en marchant sur les cadavres d'autrui".
Tous demandent à l'épouse de se sacrifier. Mais pourquoi donc? Au nom de quoi lui demande-t-on cela?
Il est vrai que chacun reconnait que c'est injuste, mais on lui demande quand même de se sacrifier. De quel droit?
Elle finira par se sacrifier. Encore. L'amour, c'est donner. Mais parfois c'est si injuste.
La maitresse aussi fera le même geste et renverra Youssef auprès de sa femme et de son fils. Mais...
L'amour, ce n'est pas s'approprier l'autre diront certains. Oui, c'est vrai. Mais quelle a été le tort de l'épouse? Aimer son mari si fort?
L'amour est le plus fort diront d'autres, et lorsque l'on tombe amoureux, on n'y peut rien. Je pense ici à Youssef. C'est facile de dire cela. Mais quel est le tort de Hend? Pourquoi est-il si injuste à son égard?
Quel a été le tort de Chams? L'amour a été plus fort qu'elle? Pas d'accord. Elle le dira elle-même: ceux qui font souffrir autrui n'ont pas de droits. Et c'est ce que j'ai toujours pensé à chaque fois que l'on me raconte une soi-disant belle histoire d'amour entre une personne engagée et une tierce personne. Je sais je suis catégorique, mais je ne peux être objective. C'est ainsi.
"Le système mis en place dans notre monde libre repose sur l'accord tacite d'une sorte de contrat passé avec chacun d'entre nous dont voici, dans les grandes lignes, le contenu.
Voici le contrat reconductible par tacite reconduction que vous signez chaque matin en vous réveillant simplement et ne faisant rien
Mes chers amis, Le 11 septembre marque le triste anniversaire d'une catastrophe hautement symbolique pour l'humanité.
Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place dans notre monde libre repose sur l'accord tacite d'une sorte de contrat passé avec chacun d'entre nous, dont voici dans les grandes lignes le contenu:
1) J'accepte la compétition comme base de notre système, même si j'ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l'immense majorité des perdants,
2) J'accepte d'être humilié ou exploité a condition qu'on me permette a mon tour d'humilier ou d'exploiter quelqu'un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale,
3) J'accepte l'exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles car je considère que le prise en charge de la société a ses limites,
4) J'accepte de rémunérer les banques pour qu'elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu'elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce que j'accepte implicitement). J'accepte aussi qu'elle prélèvent une forte commission pour me prêter de l'argent qui n'est autre que celui des autres clients,
5) J'accepte que l'on congèle et que l'on jette des tonnes de nourriture pour ne pas que les cours s'écroulent, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année,
6) J'accepte qu'il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu'on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les états,
7) J'accepte que l'on fasse la guerre pour faire régner la paix. J'accepte qu'au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J'accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d'armes et faire tourner l'économie mondiale,
8) J'accepte l'hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu'il s'agisse d'une énergie coûteuse et polluante, et je suis d'accord pour empêcher toute tentative de substitution, s'il s'avérait que l'on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l'énergie, ce qui serait notre perte,
9) J'accepte que l'on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu'il s'agit d'un ennemi et nous encouragent à le tuer,
10) J'accepte que l'on divise l'opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l'impression de faire avancer le système. j'accepte d'ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu'elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux,
11) J'accepte que le pouvoir de façonner l'opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd'hui aux mains d'affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu'ils en feront,
12) J'accepte l'idée que le bonheur se résume au confort, l'amour au sexe, et la liberté à l'assouvissement de tous les désirs, car c'est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai: je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie,
13) J'accepte que la valeur d'une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu'on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité, et qu'on l'exclue du système si elle n'est plus assez productive,
14) J'accepte que l'on paie grassement les joueurs de football ou des acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l'éducation et de la santé des générations futures,
15) J'accepte que l'on mette au banc de la société les personnes agées dont l'expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la plus évoluée de la planète (et sans doute de l'univers) nous savons que l'expérience ne se partage ni ne se transmet,
16) J'accepte que l'on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre situation est normale et combien j'ai de la chance de vivre en occident. je sais qu'entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous,
17) J'accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent l'avenir de la vie et de la planète,
18) J'accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu'on me le signale explicitement. J'accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l'agroalimentaire de breveter le vivant, d'engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l'agriculture mondiale,
19) J'accepte que les banques internationales prêtent de l'argent aux pays souhaitant s'armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu'il vaut mieux financer les deux bords afin d'être sûr de gagner de l'argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s'ils ne peuvent pas rembourser les emprunts,
20) J'accepte que les multinationales s'abstiennent d'appliquer les progrès sociaux de l'occident dans les pays défavorisés. Considérant que c'est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu'on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l'homme et du citoyen, nous n'avons pas le droit de faire de l'ingérence,
21) J'accepte que les hommes politiques puissent être d'une honnêteté douteuse et parfois même corrompus. je pense d'ailleurs que c'est normal au vu des fortes pressions qu'ils subissent. Pour la majorité par contre, la tolérance zéro doit être de mise,
22) J'accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l'agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident,
23) J'accepte que le reste de la planète, c'est-à-dire quatre milliards d'individus, puisse penser différemment à condition qu'il ne vienne pas exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d'expliquer notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives,
24) J'accepte l'idée qu'il n'existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d'une conscience et d'un langage, ce n'est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte,*
25) J'accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je sais qu'aujourd'hui tout ceci n'existe plus car nous sommes au summum de notre évolution, et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples, comme nous l'entendons sans cesse dans nos discours politiques,
26) J'accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l'explication du mystère de nos origines. Et j'accepte que la nature ait pu mettre des millions d'années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants,
27) J'accepte la recherche du profit comme but suprême de l'Humanité, et l'accumulation des richesses comme l'accomplissement de la vie humaine,
28) J'accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de rivières et de nos océans. J'accepte l'augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d'éléments radioactifs dans la nature. J'accepte l'utilisation de toutes sortes d'additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c'est qu'ils sont utiles et sans danger,
29) J'accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je sens qu'elle nous mène vers une catastrophe sans précédent,
30) j'accepte cette situation, et j'admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l'améliorer,
31) J'accepte d'être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux,
32) J'accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J'accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez,
33) J'accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m'empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie.
Rédigé par amitié sur la Terre, le 11 septembre 2003."
J'ai vu hier soir ce film. Presque 3 heures, et on ne s'ennuie pas une seule minute. J'ai lu qu'il a 13 nominations pour les oscars. Méritées vraiment. Les images sont très belles. Elles nous mettent complètement dans l'ambiance un peu irréelle du film. Et elles nous promènent d'une histoire à une autre, d'une époque à une autre.
Mon amie Emma me reproche de trop raconter les films que je regarde, donc cette fois-ci, je ne dirais rien à propos de l'histoire, du moins rien de plus que ce que l'on trouve un peu partout.
L'histoire Lorsqu'il voit le jour en 1918, Benjamin Button est un bébé pas comme les autres. D'apparence, il a le corps et le visage d'un homme de 80 ans. Dès lors, son destin sera celui d'un individu dont le chemin de vie s'écrit à l'envers. Plus il vieillit, plus il rajeunit. Si son corps laisse imaginer un adulte, c'est en réalité le cœur d'un enfant qui bat. Ainsi à cinquante ans, c'est bien un adolescent qui tremble dans ce corps d'homme mûr. Au fil des années, Benjamin Button (Brad Pitt) va tenter de vivre avec ce "handicap". Les femmes qu'il aime vieilliront sous ses yeux tandis que lui, aura les traits d'un jeune homme. L'expérience de toute une vie à contre-sens... le premier baiser, le premier amour et chagrin qui en découle, le premier enfant…
Le maquillage de Brad Pitt est éblouissant. Il est méconnaissable pendant les premières minutes du film. Il est tellement bien vieillit. En plus, son corps est tellement disproportionné que cela ne pouvait être lui. Par la suite j'ai lu qu'en fait il s'agissait d'un trucage. La tête de Brad Pitt avait été collée au corps d'un adolescent. Le film est d'ailleurs plein d'effets spéciaux très réussis.
Le maquillage, les effets spéciaux, l'histoire... tout tend à rendre ce film beau, et surtout émouvant. Tellement émouvant que l'on est surpris de croire à la réalité de cette histoire.
J'en dirais pas plus, sauf allez le voir. Et peut-être bien que vous aurez des choses à nous dire....
Hier, une amie égyptienne m'a envoyé un lien vers une vidéo du futur musée sous la mer à Alexandrie. C'est tellement beau que j'ai envie de partager avec vous.
J'espère pouvoir un jour visiter ce futur musée sous la mer, qui apparemment promet d'être grandiose.
By the way, si un jour vous visitez Alexandrie, allez manger Chez Addoura. Il s'agit d'un concept qui n'existe pas chez nous, du moins pas à ma connaissance (mais c'est très répandu en Égypte). On achète son poisson dans une sorte de poissonnerie attenante au restaurant, ensuite le poisson est nettoyé et cuisiné de la manière que le client choisi: friture, grill, en sauce...
Ce que j'avais adoré chez Addoura, c'est qu'il s'agit d'un restaurant populaire. Le personnel est très gentil et on y est très bien accueilli. Et puis, c'est l'occasion de rencontrer des égyptiens...
Bref, personnellement, j'avais adoré manger dans ce restaurant et j'en garde un excellent souvenir.
Je viens de montrer la vidéo à ma Poupée, elle a été très jalouse! Elle dit qu'elle ne peut faire de même uniquement parce qu'à la maison, il n'y a pas assez de place pour s'entraîner!
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