Lors de notre dernière réunion du Club de lecture, une journaliste était présente. Son rédacteur en chef avait estimé que l'idée du club était très bonne et qu'elle pourrait peut-être inspirer d'autres amoureux de la lecture qui créeraient peut-être aussi d'autres clubs.
Voici l'article paru le 29/11/2009 dans le journal essabah, mais quelques remarques au préalable:
- La journaliste s'est trompée en recopiant le titre du livre, qui est bien "شطح المدين" et non pas " مسح المدين
- La journaliste a aussi emmêlé les prénoms, les professions et les interventions. Pas grave, cela ne change rien au contenu.
- Elle n’a pas, non plus, rendu justice au livre de Gamal Ghitany en ne rapportant
pas tous les propos tenus lors de la réunion. Il est vrai que le but de
l’article est de parler du groupe plutôt que du livre, mais… elle l’a
fait. Elle aurait du donc bien le faire.
Cliquez pour agrandir et lire:
Le livre dont nous avons discuté était donc, comme prévu, "Les délires de la ville" de Gamal Ghitany, ou شطح المدينة dans son titre original.
Une nuit - j'avais six ans -, j'étais dans mon lit, bien au chaud et en paix, dans un agréable demi-sommeil; dans ma tête voletaient de tendres rêves d'enfant avec leur cortège de gentilles fées. Soudain, je sentis quelque chose s'agiter sous mes draps, cela ressemblait à une énorme main, froide et rude, qui palpait mon corps, comme pour y chercher je ne sais quoi. Presque simultanément, une autre main, tout aussi froide et rude, s'abattit sur ma bouche, m'empêchant de crier.
On me porta jusqu'à la salle de bain. Je ne sais pas combien ils étaient et je ne me souviens pas de leurs visages ne si c'étaient des hommes ou des femmes. Le monde me semblait enveloppé dans un brouillard opaque qui me voilait la vue. Peut-être m'avait-on recouvert les yeux. Tout ce dont je me souviens, c'est que j'avais peur, qu'ils étaient nombreux et qu'une poigne de fer saisit mes mains, mes bras et mes cuisses: je ne pouvais plus résister ni même bouger. Je me rappelle aussi du carrelage froid de la salle de bain sous mon corps nu. Le bourdonnement de voix inconnues était coupé de temps en temps par un bruit raclant et métallique semblable à celui que produit le boucher lorsqu'il agite son couteau avant de procéder au sacrifice d'un mouton pour l'Eid.
Mon sang se glaça dans mes veines. Je pensais que des bandits étaient entrés dans ma chambre et m'avaient kidnappée dans mon lit. Ils allaient maintenant me couper la gorge, parce que c'était toujours ce qui arrivait aux petites filles désobéissantes comme moi dans les histoires que ma grand-mère aimait à me raconter.
Je tendis l'oreille pour tenter d'identifier ce bruit raclant et métallique. Il s'arrêta, et mon cœur cessa de battre. Je ne voyais rien et j'avais l'impression que même ma respiration s'était arrêtée. Pourtant, j'imaginais que la chose métallique qui causait le bruit raclant se rapprochait de moi. Elle ne s'approchait pas de mon cou, comme je m'y attendais, mais d'une autre partie de mon corps. Elle cherchait dans la région de mon bas-ventre quelque chose de caché entre mes cuisses. C'est à ce moment que je réalisais que mes cuisses avaient été écartées au maximum et qu'elles étaient tenues par des doigts en fer qui ne relâchaient pas leur emprise. Je sentais le couteau ou la lame se diriger directement vers mon cou. Et tout d'un coup, l'objet de métal affuté plongea entre mes cuisses et coupa une partie de la chair de mon corps. Malgré la main plaquée sur ma bouche, je hurlais car ce n'était pas une simple douleur, mais une flamme dévorante qui transperçait mon corps tout entier. L'instant d'après, je vis que mes hanches baignaient dans une mare de sang.
Je ne savais pas ce qu'ils m'avaient coupé, et je ne voulais pas le savoir. Je pleurais et appelais ma mère à mon secours. A ma grande horreur, je la découvris à mes côtés. C'était bien elle, je ne me trompais pas, en chair et en os, au milieu de tous ces étrangers, leur parlant et leur souriant, comme s'ils n'avaient pas essayé d'assassiner sa fille quelques instants auparavant.
Ils me portèrent jusqu'à mon lit. Je les vis s'emparer de ma sœur, de deux ans plus jeune que moi, tout comme ils l'avaient fait avec moi. Je hurlais de toutes mes forces. Non! non! Je voyais le visage de ma sœur tenu entre des mains énormes et rudes. Elle était pâle comme la mort et son regard aux grands yeux noirs croisa le mien l'espace d'une seconde. Jamais je n'oublierai la terreur qui s'y reflétait. Puis on la porta vers la salle de bains que je venais de quitter... Le regard que nous échangeâmes semblait vouloir dire: "Maintenant, nous savons ce que c'est. Nous savons quelle est notre tragédie. C'est d'être nées d'une espèce spéciale, le sexe féminin. Notre destin est de toucher à la plus profonde des misères et de voir notre corps mutilé par des mains froides, insensibles et cruelles."
Ma famille n'était pas de celles qui, en Égypte, n'ont reçu aucune instruction. Au contraire,mes parents avaient eu la chance, tous les deux, de jouir de ce que l'on pouvait considérer à l'époque comme une très bonne formation. Mon père avait fait des études universitaires et avait été promu cette année-là (1937) inspecteur général de l'éducation pour la province de Menoufia dans la région du delta au nord du Caire. Ma mère avait fréquenté des écoles françaises, poussée par son père qui était directeur général des services du recrutement de l'armée. Malgré tout, l'excision des filles était très répandue, et une fille ne pouvait échapper à l'amputation de son clitoris, que sa famille vive à la campagne ou en ville. Lorsque je retournai à l'école après l'intervention, je parlai à mes camarades et à mes amies de ce qui m'était arrivé, et je découvris que toutes, sans exception, étaient passées par le même supplice, quelle que soit leur origine sociale (classe supérieure, moyenne ou inférieure).
Dans les familles de paysans pauvres, toutes les filles sont excisées, comme je pus le constater dans la famille que j'ai à Kafr Tahla. Cette coutume est encore très répandue dans les villages et même dans les villes, où bien des familles estiment que c'est une nécessité. Toutefois, la généralisation de l'instruction et une plus grande compréhension de la part des parents font que, de plus en plus, ils renoncent à faire exciser leurs filles.
Le souvenir de l'excision me poursuivit pendant longtemps comme un cauchemar. Un sentiment d'insécurité s'était emparé de moi, je redoutais l'inconnu qui me guettais à chaque pas que je ferais dans la vie. Je ne savais même pas si ma mère et mon père, ou m grand-mère, ou les personnes qui m'entouraient ne me réservaient pas d'autres surprises. Depuis le jour où j'avais ouvert les yeux, la société m'avait fait sentir que j'étais une fille et m'avait enseigné que le mot bint (fille) était presque toujours accompagné d'un froncement de sourcils.
J'atteignis l'âge adulte et je devins médecin en 1955, mais je ne pouvais effacer de ma mémoire l'incident douloureux qui avait mis fin abruptement à mon enfance et m'a encore longtemps empêchée,lorsque je fus mariée, de jouir pleinement de ma sexualité et de la vie, ce qui n'est possible qu'à ceux qui possèdent un équilibre psychologique satisfaisant. J'ai été longtemps hantée par ce genre de cauchemars, surtout lorsque j'exerçais ma profession dans les régions rurales. Il m'arrivait fréquemment de soigner des jeunes filles qui nécessitaient des soins à domicile, souffrant de saignements abondants après une excision. Plus d'une a payé de sa vie la façon inhumaine et primitive dont était effectuée l'opération, déjà barbare en soi. D'autres souffraient d'infections graves ou chroniques, parfois pour le restant de leurs jours. La plupart d'entre elles, sinon toutes, étaient exposées plus tard à des déformations sexuelles ou psychologiques résultant de cette expérience.
J'ai également eu affaire à des femmes venant de différents pays arabes, entre autres des Soudanaises. J'ai été horrifiée en constatant qu'une fille soudanaise est soumise à une opération beaucoup plus cruelle que celle pratiquée en Égypte. Ici, on effectue l'ablation, d'ordinaire non complète, du clitoris. Au Soudan, on enlève tous les organes génitaux externes, c'est-à-dire le clitoris, les deux lèvres extérieures (labia majora) et les deux lèvres intérieures (labia minora). Puis on recoud la plaie. L'ouverture extérieure du vagin est la seule partie que l'on laisse intacte, non sans s'être assuré que, lorsqu'on ferme la plaie, quelques points de suture supplémentaires rétrécissent l'orifice. En conséquence, lors de la nuit de noces, il faut agrandir cet orifice à une extrémité ou aux deux au moyen d'un scalpel ou d'un rasoir afin de permettre la pénétration de l'organe mâle. Si une soudanaise divorce, l'ouverture extérieure est rétrécie à nouveau de façon à ce quelle ne puisse pas avoir de relations sexuelles. Si elle se remarie, on réagrandit l'ouverture.
En écoutant les femmes m'expliquer ce qui se passe lors d'une excision au Soudan, je sentais la colère et la révolte monter en moi. Ces sentiments s'accrurent encore lorsqu'en me rendant au Soudan en 1969, je découvris que cette forme d'excision était toujours aussi répandue, que ce soit dans les régions rurales, dans les villages ou dans les villes.
Malgré mon instruction et mes études de médecine, je n'étais pas capable, à cette époque, de comprendre pourquoi les filles étaient soumises à cette tradition barbare. Je ne cessais de me demander: "pourquoi?" Je ne trouvais jamais de réponse à cette question qui m'obsédait de plus en plus, pas plus qu'aux interrogations qui torturaient mon esprit le jour où ma sœur et moi avions été excisées.
La face cachée d'Ève - Les femmes dans le monde arabe - Naoual el Saadaoui.
Le 17 décembre 1999, par sa résolution
54/134, l'Assemblée générale a proclamé le 25
novembre Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, et a
invité les gouvernements, les organisations internationales et les organisations non
gouvernementales à organiser ce jour-là des activités conçues pour sensibiliser l'opinion au
problème. Les militants en faveur des droits des femmes ont choisi en 1981 la date du 25
novembre comme journée de lutte contre la violence, en mémoire des trois sœurs Mirabal,
militantes dominicaines brutalement assassinées sur les ordres du chef de l'État,
Rafael Trujillo (1930-1961).
Aux fins de la présente Déclaration, les termes "violence à l'égard
des femmes" désignent tous actes de violence dirigés contre le sexe
féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des
souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace
de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que
ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée.
Article 2
La violence à l'égard des femmes s'entend comme englobant, sans y être limitée, les formes de violence énumérées ci-après :
a) La violence physique, sexuelle et psychologique
exercée au sein de la famille, y compris les coups, les sévices sexuels
infligés aux enfants de sexe féminin au foyer, les violences liées à la
dot, le viol conjugal, les mutilations génitales et autres pratiques
traditionnelles préjudiciables à la femme, la violence non conjugale,
et la violence liée à l'exploitation;
b) La violence physique, sexuelle et psychologique
exercée au sein de la collectivité, y compris le viol, les sévices
sexuels, le harcèlement sexuel et l'intimidation au travail, dans les
établissements d'enseignement et ailleurs, le proxénétisme et la
prostitution forcée;
c) La violence physique, sexuelle et psychologique perpétrée ou tolérée par l'Etat, où qu'elle s'exerce.
Article 3
L'exercice et la protection de tous les droits de la personne
humaine et des libertés fondamentales doivent être garantis aux femmes,
à égalité avec les hommes, dans les domaines politique, économique,
social, culturel, civil et autres. Au nombre de ces droits figurent :
a) Le droit à la vie;
b) Le droit à l'égalité;
c) Le droit à la liberté et à la sûreté de la personne;
d) Le droit à une égale protection de la loi ;
e) Le droit de ne subir de discrimination sous aucune forme;
f) Le droit au meilleur état de santé physique et mentale possible;
g) Le droit à des conditions de travail équitables et satisfaisantes;
h) Le droit de ne pas être soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 4
Les États devraient condamner la violence à l'égard des femmes et
ne pas invoquer de considérations de coutume, de tradition ou de
religion pour se soustraire à l'obligation de l'éliminer. Les États
devraient mettre en œuvre sans retard, par tous les moyens appropriés,
une politique visant à éliminer la violence à l'égard des femmes et, à
cet effet :
a) Envisager, lorsqu'ils ne l'ont pas encore fait, de
ratifier la Convention sur l'élimination de toutes les formes de
discrimination à l'égard des femmes, d'y adhérer ou de retirer les
réserves qu'il y ont faites;
b) S'abstenir de tout acte de violence à l'égard des femmes;
c) Agir avec la diligence voulue pour prévenir les
actes de violence à l'égard des femmes, enquêter sur ces actes et les
punir conformément à la législation nationale, qu'ils soient perpétrés
par l'État ou par des personnes privées;
d) Prévoir dans la législation nationale pénale,
civile, du travail ou administrative les sanctions voulues pour punir
et réparer les torts causés aux femmes soumises à la violence; les
femmes victimes d'actes de violence devraient avoir accès à l'appareil
judiciaire et la législation nationale devrait prévoir des réparations
justes et efficaces du dommage subi; les États devraient en outre
informer les femmes de leur droit à obtenir réparation par le biais de
ces mécanismes;
e) Examiner la possibilité d'élaborer des plans
d'action nationaux visant à promouvoir la protection de la femme contre
toute forme de violence, ou d'inclure des dispositions à cet effet dans
les plans existants, en tenant compte, le cas échéant, de la
coopération que sont en mesure d'apporter les organisations non
gouvernementales, notamment celles qu'intéresse plus particulièrement
la question;
f) Élaborer des stratégies de prévention et toutes
mesures de caractère juridique, politique, administratif et culturel
propres à favoriser la protection des femmes contre la violence et à
garantir que les femmes ne se verront pas infliger un surcroît de
violence du fait de lois, de modes de répression ou d'interventions
d'un autre ordre ne prenant pas en considération les caractéristiques
propres à chaque sexe;
g) Dans toute la mesure possible, compte tenu des
ressources dont ils disposent, et en ayant recours au besoin à la
coopération internationale, assurer aux femmes victimes d'actes de
violence et, le cas échéant, à leurs enfants une aide spécialisée, y
compris réadaptation, assistance pour les soins aux enfants,
traitement, conseils, services médico-sociaux et structures d'appui, et
prendre toutes autres mesures voulues pour promouvoir la réadaptation
physique et psychologique;
h) Inscrire au budget national des crédits suffisants
pour financer les activités visant à éliminer la violence à l'égard des
femmes;
i) Veiller à ce que les agents des services de
répression ainsi que les fonctionnaires chargés d'appliquer des
politiques visant à prévenir la violence à l'égard des femmes, à
assurer les enquêtes nécessaires et à punir les coupables reçoivent une
formation propre à les sensibiliser aux besoins des femmes;
j) Adopter toutes les mesures voulues, notamment dans
le domaine de l'éducation, pour modifier les comportements sociaux et
culturels des hommes et des femmes et éliminer les préjugés, coutumes
et pratiques tenant à l'idée que l'un des deux sexes est supérieur ou
inférieur à l'autre ou à des stéréotypes concernant les rôles masculins
et féminins;
k) Favoriser la recherche, rassembler des données et
compiler des statistiques se rapportant à l'incidence des différentes
formes de violence à l'égard des femmes, y compris en particulier la
violence au foyer, et encourager la recherche sur les causes, la
nature, la gravité et les conséquences de la violence à l'égard des
femmes, ainsi que sur l'efficacité des mesures prises pour prévenir et
réparer la violence à l'égard des femmes, lesdites statistiques et les
conclusions des travaux de recherche étant à rendre publiques;
l) Adopter des mesures visant à éliminer la violence à l'égard des femmes particulièrement vulnérables;
m) Inclure dans les rapports présentés en application
des instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme des
éléments d'information concernant la violence à l'égard des femmes et
les mesures prises pour donner effet à la présente Déclaration;
n) Encourager l'élaboration des directives voulues pour
aider à la mise en œuvre des principes énoncés dans la présente
Déclaration;
o) Reconnaître l'importance du rôle que jouent les
mouvements de femmes et les organisations non gouvernementales du monde
entier s'agissant de faire prendre conscience du problème de la
violence à l'égard des femmes et d'y remédier;
p) Faciliter et encourager les travaux des mouvements
de femmes et des organisations non gouvernementales et coopérer avec
eux sur les plans local, national et régional;
q) Encourager les organisations intergouvernementales
régionales dont ils sont membres à inclure s'il y a lieu l'élimination
de la violence à l'égard des femmes dans leurs programmes.
"Il importe guère qu'un être soit croyant ou non: il est beaucoup plus important qu'il soit bon".
Dalai lama
Et c'est ce que je pense aussi. Un homme bon ne fera pas de mal à autrui. Il saura se comporter en société. Il fera du bien autour de lui... Peu importe si par ailleurs, il fait ou ne fait pas des prières, jeune ou pas, allume des cierges ou pas, va dans une mosquée ou une église ou pas....
Depuis quelques jours, je reçois un mail venant de "mail maintenance"
qui me demande mon adresse mail et mon mot de passe. Le plus drôle,
c'est que ce mail ne semble pas provenir de Yahoo, qui est ma boite
mail.
J'ai trouvé une transcription en anglais pour ceux qui ne comprennent pas l'arabe.
Désolée, je n'en ai pas trouvé en français.
Egyptian Child Preacher Forbids Singing and States: The West Presents Adultery as "Sex Education"
Following are excerpts from an interview withEgyptian child preacher Muslim Sa'id,which aired on Al-Nas TV on July 2, 2009.
Interviewer: Sheik Muslim, we've been discussing the Islamic
ruling about singing and music. As we know, the Prophet Muhammad said:
"Among my followers, there will be some people who will consider as
lawful..."
Muslim Sa'id: ... “illegal sexual intercourse, silk, alcohol, and musical instruments."
Interviewer: Very good. That’s right. Sheik Muslim, we would like you to explain this blessed hadith to us.[...]
Muslim Sa'id: The problem is that not enough things are being
done, and that people insist on listening to the forbidden singing, to
which many people have become addicted – except a few, upon whom God
has taken mercy. It has gotten to the point that this singing distracts
them from many of the religious and worldly matters important to them.
This has led to a waste of time and money, to insisting upon sin, and
to binding the heart to things other than God. I do not understand what
makes people insist upon this. Do they doubt the ruling that [singing]
is forbidden? Or is this a weakness of faith and determination? My
brother, who proclaims that there is no god but Allah, and that
Muhammad is the messenger of Allah: what is better – to listen to the
All Merciful or to listen to Satan?[...]Mr. Sa'id, I have a question, which my brothers in elementary school
can answer. What is the opposite of "consider as lawful"? Forbidding.
This means that these issues, mentioned in the hadith, are
forbidden, but they are permitting them. Third, they give these things
names that are not theirs. This shows that they are changing what these
things are called, in order to attract people to them. Fourth, they
call "illegal sexual intercourse" – or adultery – "sex education."
Fifth, they call wine "spirits." Sixth, they call the instruments they
play "instruments of music and art." They do this to deceive you – you
poor guy, you poor girl.Let's use simple language. First of all, singing is composed of
three things: melody, lyrics, and a singer. First, the melody. When
this melody accompanies any words - even lyrics that mention God and
His Messenger – it is forbidden, with one exception – the use of the
tambourine among women. Second, the words. If the words call for
polytheism or heresy, if they glorify the polytheists, the infidels, or
false gods, or if they cause sorrow or arouse the urges, this is
forbidden. Third, the singer. If, by means of his style, he encourages
feebleness or promiscuity, it is forbidden. Mr. Sa'id, there are
singers who wear necklaces, and make their hair stand on end, as if
they are holding live electrical wires.
Une des membres avait amené avec elle une amie française. C’était intéressant, elle participait aux discussions sans avoir lu les livres, et elle donnait un point de vue différent.
Cela s’est fait sans concertation aucune, mais nous avons beaucoup parlé femmes lors de cette séance. Un pur hasard. Plusieurs des livres parlaient de la femme.
Un autre hasard heureux, à l’occasion de la discussion à propos du livre Ulysse from Bagdad, nous avons parlé de l’Irak, et une des membres présente est mariée à un irakien!
Nous avons choisi les livres à lire pour les prochaines réunions:
- le 08/12/2009: Nos silences de Wahiba Khiari, et cela en présence de l’auteur qui a gentiment accepté notre invitation.
Pour le 24/11/2009: Les délires de la ville de Gamal Ghitany, prévu initialement pour le 17/11/2009, mais repoussé d’une semaine parce qu’il a été difficile pour certains de se le procurer à temps.
Samedi dernier, je suis allée au vernissage de l'exposition de groupe qui a lieu à la Galerie Kalysté à la Soukra.
Pour cause de matchs, il n'y avait malheureusement pas beaucoup de monde. C'est dommage!
Cette exposition groupait les artistes suivants:
- H.Dniden (qui a reçu le Grand Prix de la ville de Tunis, le prix «Picasso» à l’Institut
hispano-arabe de la culture en 1982 et qui a été décoré des insignes de chevalier de l’Ordre national du mérite, au titre du secteur de la culture pour l’année 2004).
L'exposition se poursuivra jusqu'au 24 Décembre 2009.
Désolée pour la qualité des photos, je suis loin d'être professionnelle. En plus, beaucoup de monde, beaucoup de lumière... Mais bon, c'est juste pour vous monter, et qui sait, peut-être vous encourager à aller voir par vous-même!
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