Il y a quelques semaines, nous avons diné au restaurant Dar el Jeld. Je n'ai pas résisté et j'ai pris des photos bien que j'en avais déjà prises auparavant. Ce palais est vraiment magnifique. Et on y mange bien.
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
Cette affiche, encadrée et accrochée sur un mur nous donne un "joli" visage de la Tunisie, toute en paradoxe et ouverte à tous.
Un tableau de Jules Lellouche. Le restaurant abrite d'ailleurs une jolie collection de tableaux.
La ruelle dans laquelle se trouve Dar El Jeld:
Une fenêtre bien originale:
La porte d'entrée:
Pour mes amies blogueuses culinaires, et pour le plaisir des yeux des gourmets, ces quelques photos:
- Une soupe de poisson:
- Une brick à l'oeuf:
- Salade de fruits de mer:
- Une salade tunisienne:
- Hrouss ou poivrons grillés (un vrai délice):
- Une koucha de poisson:
- Lahmet thon:
- Gâteau aux dattes:
- Divers desserts tunisiens:
- Zrayga:
- Thé vert et loukoum:
- Balouza (mais celle de maman est la meilleuuuuuuuuuuuuuuure!)
Miam, comme la cuisine tunisienne est bonne!!! Avis aux amateurs et aux éventuels touristes.
La première fois que mon mari et moi avions été à Istanbul, nous avions été déçus par la nourriture.
Soit nous mangions à l’hôtel, et c’était la cuisine internationale, qui bien que très bonne, nous décevait: nous voulions manger turc. Soit nous mangions dehors, et en principe, c’était l’éternel Chiche Kebab.
On nous avait invités à dîner à la Galata Tower, mais ce n’était pas génial non plus: kebab, hommos… et les danseuses du ventre!
Nous avions vadrouillé tous seuls, nous avions mangé au hasard, dans des restaurants que nous rencontrions lors de nos promenades, mais toujours nous nous heurtions au kebab. Nous avions mangé au port, mais nous avions été déçus: rien de particulier. Le port et ses restaurants, c’est un peu notre Goulette. Rien de nouveau pour nous.
Notre unique super dîner cette année-là a été dans un petit restaurant. Ce jour-là, nous nous promenions dans le quartier du Grand Bazar, et nous avions été «racolé» par un type pour manger dans un petit restaurant pour touristes.
En entrant, nous avions vu au milieu du restaurant 4 femmes assises qui faisaient cuire une sorte de malsouka. Je suppose que les plus vieux d’entre vous savent comment autrefois on faisait la malsouka, bien avant qu’elle ne soit vendue aux supermarchés. Je m’en souviens très bien, maman la faisait à la maison.
En fait, c’était la spécialité de ce restaurant. On mangeait cette feuille, qui ressemblait à la malsouka mais en plus épais, farcie au fromage, aux épinards, au poulet, à la viande… Nous en avions mangé plusieurs, c’était délicieux. Vraiment délicieux. Et surprise, lorsque l’addition est arrivée, nous avions cru à une erreur, et nous leur avions fait répéter à plusieurs reprises. Le dîner nous avait coûté 11 dollars US. Oui, vous avez bien lu, seulement 11$ US.
Cette fois-ci, je m’étais dit que j’échapperais à l’éternel kebab et que je découvrirais la cuisine turque. Idem pour mes amies. Mais découvrir la vraie cuisine turque est un vrai problème.
Le premier soir, à l’hôtel on nous a conseillé un restaurant. Nous y avons été. Il s’agissait d’un restaurant pour touristes. On nous a servi un assortiment de mezze, pareil qu'au Liban. OK, ce n’était pas ce soir-là que nous découvririons la cuisine turque.
En plat principal, il n’y a avait que du kébab. Je n’ai pas voulu en prendre, et j’ai eu raison. Mes amies ont été déçue et n’ont pas fini leurs assiettes.
Le deuxième soir, nous avons demandé l’adresse d’un restaurant turc fréquenté par des turcs. A l’hôtel, on nous en avait indiqué un que nous avons eu du mal à trouver. Les clients étaient en effet turcs, mais un coup d’œil à la nourriture et nous sommes parties. Cela n’avait vraiment pas l’air appétissant. En plus, comme l’a dit une amie, on se serait cru à la maison: gnawia, mar9et loubia, mar9et batata…
Nous sommes alors parties à l’aventure. Sur l’avenue Istiklel, nous sommes tombées sur un restaurant où une femme préparait des sortes de tabouna ou mlawiis.
Tout le dîner était turc, et tout était bon. Nous avons commandé des mantis, une sorte de raviolis turcs, avec une sauce au yaourt,
Et une sorte de crêpe, mais avec une pâte qui ressemble à de la malsouka épaisse, servie avec du borgoul
et ensuite, une sorte de tabouna très très fine et farcie. Plusieurs farces étaient proposées, nous en avons commandé à la viande et au fromage turc. C’était un vrai délice. D’ailleurs, cela a été notre meilleur dîner à Istanbul. Cela avait l’air tellement bon que j’ai oublié de prendre la photo avant d’entamer le plat. Je n’y ai pensé que lorsque la moitié du plat avait été englouti.
Le lendemain, un ami tunisien nous avait conseillé un restaurant, nous y avons été. Nous avons commandé la spécialité, et c’était juste un grand plat de grillades mixtes. Rien de bien particulier. Nous étions vraiment déçues. Je crois que ce soir-là, nous n’avons aimé que le pain!
Pour notre dernier soir, nous avons essayé en vain de trouver un restaurant qui serait l’équivalent de notre Dar El Jeld national, mais nous n’en avons pas trouvé. Dommage.
Nous sommes encore parties à l’aventure, cette fois-ci dans le quartier de Sultanamet. Nous commencions à désespérer parce que tous les restaurants que nous avions croisé proposaient l’éternel kebab. Et enfin, alors que nous n’y croyions vraiment plus, nous avons trouvé un restaurant qui offrait un plus grand choix. Il s’agit du restaurant Adonin.
Nous avons encore une fois pu manger turc. Une excellente entrée (malheureusement pas de photos, j’avais oublié d’en prendre), une sorte de Samsa au fromage. En plat de résistance, nous avons commandé des mantis,
un Patlicanli kebab, qui est une sorte de ragout aux aubergines
et un Iskender, qui est du kébab, servi avec une sauce tomate et du yaourt
Au dessert, nous avons commandé une Künefe aux pistaches.
Très bon dîner.
En nous promenant, nous avons constaté qu’à l’occasion du mois de ramadan, plusieurs pâtisseries semblables aux nôtres étaient proposées.
Je re-publie cette photo. Je l’avais prise quelques minutes après le adhane de la rupture du jeun. Les turcs ne sont pas comme nous, même pendant le mois de ramadan, ils mangent dehors. Là, ils font la queue pour acheter leur iftar.
Je ne conseillerais pas Istanbul comme destination gastronomique, mais j’ai adoré cette ville et l’ambiance de liberté qui y règne. Je crois que j’y retournerais bien volontiers.
J'avoue avoir été déçue. Je n'avais pas voulu aller au Café Vert pour changer un peu et essayer un autre restaurant, mais finalement j'aurais du suivre son avis, parce que là où nous avons été, c'était vraiment très très moyen.
Le seul truc vraiment sympa, c'était la carte. Jugez par vous-même:
J'adore particulièrement le poisson à la patte. Elle est où sa patte?
J'étais restée à Tunis pour l'occasion et je ne l'ai vraiment pas regretté. Tout était très très bien. Jacob s'est vraiment surpassé. La nourriture était excellente. En fait, tout était excellent. L'ambiance, la musique et les invités. Surtout les invités.
En fait, hier a été l'occasion pour moi de retrouver quelques amis et de passer d'agréables moments avec eux.
Mamie Lily trônait dans son fauteuil, une expression de bonheur sur son visage. Ses fils étaient autour d'elle et festoyaient avec leurs amis.
Bref, j'ai personnellement passé une soirée comme je les aime, entourée de gens authentiques.
Une amie de Jacob lui a dit que le miracle de la soirée a été de réunir au même endroit, pour faire la fête, des musulmans et des juifs. Et c'est vrai. C'est exactement ce que je pensais: c'est génial lorsque les barrières raciales, religieuses... sont dépassées, oubliées, mises de coté.
Jacob nous a raconté que celle qui était la plus "surprise" était sa belle-sœur. Elle est née à La Goulette et y avait vécue lorsqu'elle était jeune. Il parait qu'elle garde en souvenir la peur, vers 1967, lorsque leurs valises étaient prêtes et que les juifs craignaient les représailles des musulmans. Hier pour elle a été une très heureuse surprise: des musulmans chez un juif, avec des juifs, entrain de faire la fête tous ensemble, dans la joie et la bonne humeur.
En fait, hier, la soirée devait ressembler aux soirées que nous racontaient nos parents et nos grands-parents, lorsque tous les tunisiens, qu'ils soient juifs ou musulmans vivaient en bonne entente et en bon voisinage.
Comme quoi, il suffit d'un peu de bonne volonté pour que tout soit possible.
YES WE CAN!
Mazel Tov Mamie Lily. Mazel Tov Tonton. J'espère que nous serons encore là dans quelques années pour fêter les 20 ans, les 30 ans, les 40 ans... de Mamie Lily.
Mamie Lily était d'ailleurs très belle hier. De la cLasse!
Nous étions invités, il y a quelques jours, à un diner offert à l'occasion d'un mariage à l'hôtel Villa Didon à Carthage.
Quelques jours avant le mariage, notre hôte et sa famille avaient eu droit à une dégustation des plats qui devaient être servis aux invités.
A notre arrivée, des assiettes contenant des petits canapés étaient déjà sur les tables. Environ 2 à 3 assiettes par table de 8 personnes.
Je l'avoue, ces petits canapés étaient délicieux, même si leur apparence commençait un peu à se dégrader.
Et nous avons attendu le diner. Nous avons attendu. Et attendu....
Ces assiettes avaient été débarrassées, et avaient été remplacées par des assiettes contenant des mini mini brochettes. De minuscules brochettes. Mais même pas une assiette par personne.
En plus, aucun effort de décoration. Dans l'assiette, quelques mini brochettes se baladaient seules, même pas un bout de tomate, ni une feuille de laitue, ni aucune sauce d'aucune sorte. Rien. Que ces minables mini-brochettes. Ils n'ont même pas pensé à mettre une feuille de persil pour mettre un peu de couleur.
Et nous avons attendu le diner.
Mais où était ce diner?
Et là surprise: c'était le diner!
Notre hôte était outré!!!!
L'hôtel lui a facturé 100 dinars par personne (hors boissons) pour le diner.
Il est allé parler au responsable, qui l'a envoyé vers le chef cuisinier.
Où était le diner convenu? Où étaient les plats qu'ils avaient "dégustés"?
C'était cela le diner à 100d.
A prendre ou à laisser.
Arnaque. Super arnaque. Quand on pense qu'il s'agit d'un hôtel 5 étoiles!!!!
Ils devraient avoir honte. Honte non seulement d'être des arnaqueurs, mais aussi honte de servir un tel diner.
Heureusement qu'ils se sont un peu rattrapés au dessert, qui je l'avoue était délicieux.
Comme quoi, il ne faut jamais se fier au nombre d'étoiles qu'affiche un hôtel!!!!!
P.S.: Il y a 5 ans, j'ai passé une nuit dans cet hôtel. La chambre était magnifique, et le service était excellent.
Hier, une amie égyptienne m'a envoyé un lien vers une vidéo du futur musée sous la mer à Alexandrie. C'est tellement beau que j'ai envie de partager avec vous.
J'espère pouvoir un jour visiter ce futur musée sous la mer, qui apparemment promet d'être grandiose.
By the way, si un jour vous visitez Alexandrie, allez manger Chez Addoura. Il s'agit d'un concept qui n'existe pas chez nous, du moins pas à ma connaissance (mais c'est très répandu en Égypte). On achète son poisson dans une sorte de poissonnerie attenante au restaurant, ensuite le poisson est nettoyé et cuisiné de la manière que le client choisi: friture, grill, en sauce...
Ce que j'avais adoré chez Addoura, c'est qu'il s'agit d'un restaurant populaire. Le personnel est très gentil et on y est très bien accueilli. Et puis, c'est l'occasion de rencontrer des égyptiens...
Bref, personnellement, j'avais adoré manger dans ce restaurant et j'en garde un excellent souvenir.
Pour notre 2ème et dernière journée en Côte d’Azur, nous avions été invités à Saint Paul.
Je ne connaissais pas du tout ce village, je n’en avais même jamais entendu parler. Mais vu le nombre d’autobus touristiques, je devais être la seule personne à n’en avoir pas entendu parler!
Que dire de Saint Paul?
Et ben, on pourrait dire que c’est l’équivalent en France de notre Sidi Bou Saïd national.
Il paraît que ce village est très connu pour les artistes qui y ont séjourné, et cela particulièrement depuis les années 1920, les conditions climatiques et une luminosité exceptionnelle ayant été une source d’inspiration pour un grand nombre d’entre eux.
Plusieurs de ces artistes, généralement fauchés, séjournaient ou mangeaient à l’hôtel «Le Robinson», aujourd’hui nommé «La Colombe d’or». Ils étaient donc dans l’obligation de payer en «nature»: dessins, croquis, tableaux… et ainsi s’est constituée la collection privée de l’ancienne propriétaire (grand-mère de l’actuel propriétaire), qui comporte aujourd’hui des œuvres de Picasso, Matisse, Miro, Modigliani, Fernand Léger et Chagall.
Plus tard, des artistes, du cinéma ou autre, sont aussi arrivés à Saint Paul. Nous avons d’ailleurs pu consulter un livre qui justement parle de tous ces artistes qui avaient pris l’habitude de séjourner la-bas. Parmi eux, Jacques Prévert, Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, Lino Ventura, Yves Montand et Simone de Signoret, ces derniers y ont d’ailleurs célébré leur mariage.
Nous n’avons pas mangé à La Colombe d’Or. Il paraît qu’il faut réserver pratiquement des mois à l’avance. Inch’allah une prochaine fois pour pouvoir admirer tous les chefs d’œuvres.
Nous avons mangé dans un petit restaurant «Le Café de la Place». Il paraît que c’est face à ce restaurant que se réunissaient souvent les habitants, même les plus illustres d’entre eux, pour jouer à la pétanque.
Après le déjeuner, nous nous sommes promenés dans les ruelles du village. J’ai pris celle-ci en photo, parce que je l’avoue, j’ai trouvé son nom assez original «Rue du Casse-Cou». Il paraît que son nom vient du fait que lorsqu’une personne boit et emprunte cette ruelle, elle risque un peu de se casser le cou. Je ne sais pas si l’anecdote est vraie, mais c’est mignon.
Nous avons pu admirer les remparts, les beaux paysages et surtout les diverses galeries d’art.
J’ai été particulièrement attirée par l’une d’elles: La Galerie du Vieux Saint-Paul. En fait, de l’extérieur, j’avais été attirée par les sculptures très originales qui y étaient exposées. J’ai pris quelques photos, mais malheureusement, elles sont très très loin de rendre justice à la beauté e ces œuvres.
En faisant une petite recherche sur Internet, j’ai pu trouver les noms de ces sculpteurs:
Ce n’est que par la suite que j’ai remarqué les tableaux, et un tableau en particulier dont je suis aussi tombée amoureuse. En vrai, il est vraiment magnifique, et les diverses nuances du bleu sont époustouflantes. J'ai aussi retrouvé le nom de l'artiste qui l'a peint, il s'agit de Stéphane Braud, qui a la particularité de peindre ses tableaux directement sous la mer. Malheureusement, ni ma photo, ni les diverses photos que j'ai trouvé sur le net ne peuvent rendre justice à la beauté des couleurs.
Un autre des tableaux exposés était tellement réaliste qu’on aurait dit une photo, on pouvait même voir les poils des bras. Tous les détails étaient là, et puis bien qu’il s’agisse d’une peinture sur toile, l’artiste, Pascal Chove, donne l’impression de peindre sur de la pierre, ce n’est qu’au toucher qu’on peut faire la différence.
J’ai aussi remarqué une sculpture de Paul Beckrich intitulée «Dieu Amon». Pourtant, bien qu’égyptien, cet Amon avait des yeux bridés, on aurait dit un asiatique. Étonnant. Pourquoi l’artiste voit-il Amon, Dieu égyptien, avec des yeux bridés tel un samouraï?
Malheureusement le manque de temps ne m’a pas permis de visiter toutes les galeries, il est vrai qu’il y en avait tellement que de toute façon il aurait été difficile de les visiter toutes!
Hier soir, nous sommes allés diner au restaurant les Dunes à Gammarth. A gauche du restaurant, on trouve ceci:
Qu'est-ce que c'est?
C'est la poubelle du restaurant!
C'est très beau, n'est-ce pas?
La question que je me pose est la suivante: un tel laisser-aller, une telle négligence, n'augurent-elles pas le même laisser-aller et la même négligence dans la cuisine?
Je trouve que le gérant devrait avoir honte de faire une chose pareil. Diner et avoir cela sous les yeux ne donne qu'une seule envie: vomir!
Hier soir, pas d'Adsl chez moi. Ce n'est pas une nouveauté, il faut dire.
Depuis notre retour de Sardaigne, je n'ai eu ma connexion le soir que 2 ou 3 fois je crois. Lorsque j'ai fais une réclamation à Planet, ils ont dit que c'est la faute de Tunisie Telecom. Comme d'habitude quoi!
Ce matin, certains sites sont accessibles, d'autres pas. Dieu seul sait si cette note sera publiée. Je viens à peine d'accéder à mon blog. Cela durera-t-il?
Je n'ai toujours pas accès à ma boite mail...
En plus, j'ai un mal d'estomac atroce.
Hier, nous avons diné à La Closerie. Lamentable. Peut-être que le mardi est le jour de congé de leur chef! En plus, lorsque je commande un plat se trouvant sur la carte, j'exige que l'on me serve exactement ce plat. A la Closerie, ils se réservent le droit de changer les ingrédients sans prévenir le client. J'ai horreur de cela.
Enfin, j'ai trouvé le plat dont tous les ingrédients, d'après le maître d'hôtel, étaient disponibles. J'ai donc fini par commander des pennes aux 4 fromages. Vous pouvez me croire, il n'y avait pas un mg de fromage. Crème fraiche pure. Ce matin, mon estomac me fait regretter mon choix!
Alors, pas d'Adsl, des aigreurs d'estomac.... et une tonne de dossiers en attente. Quelle belle journée!
UPDATE: Je rajoute 2 blaguounettes que je viens de trouver dans ma boite mail: Un homme rencontre un de ses copains qui fait une tête d'enterrement. - Tu as perdu quelqu'un ? - Non c'est même le contraire. Je vais être père. - Et c'est pour ça que tu as une gueule pareille - Oui. Je ne sais pas comment l'annoncer à ma femme...
Kofi Annan à Bush : - Quelle preuve avez-vous que l'Irak possède des armes de destruction massive? - Nous avons gardé les factures.
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