Comme j'aimerais que certains comprennent ce qui est dit et y réfléchissent profondément. Mais vraiment, pratiquement, en pensant à ce que cela implique.
Personnellement, je crois bien plus à ce qui est énoncé ici qu'à ce qui est écrit dans d'autres livres!!!!!
Cast: Ahmad Zaki, Youssra, S. al-imary, Gamil Ratib, H. Ahmad
Under the burning sun of an Egyptian August, an airplane makes a
forced landing in the desert sand near an oasis. The twelve survivors
of the disaster construct a micro-society which is a reflection of
their own, with all its alliances and conflicts. This film was shown in
1987 at the Venice Film Festival.The director says, "I had been trying to make this film for more
than twenty years, ever since the very first days of the socialist
transformation. Even today I run into people that do not understand the
meaning of socialism or democracy. The oppressed, the workers, the
poor-some of these are even opposed to these ideas. Those who call most
vocally for socialism and democracy have been a very bad advertisement
for them. The idea for the film came from this, to present those
questions which ff we were able to answer we would find the answers to
many of the problems of our society, and perhaps we have succeeded."
Bien que le film date de 1986, le dialogue reste d'actualité. Je dirais même plus que jamais d'actualité.
Préjugés. Amalgames. Manipulations....
Ce sont toujours les mêmes discours, et surtout les mêmes insultes: molhid (athée) et kaffer (mécréant) et même démocrates!
"Ex-enfant prodige, le violoniste Gideon Davies continue de donner
des concerts dans le monde entier avec le même succès. Jusqu'au jour
où, victime d'un trou noir, il ne peut plus jouer une note. Seule la
psychanalyse pourrait le sauver. C'est en entamant son journal, en
replongeant dans ses souvenirs qu'il pourra comprendre ce qui lui est
arrivé. Retrouver ce qu'il a enfoui au fond de sa mémoire, comme la
mort de sa sœur trisomique, assassinée vingt ans auparavant par sa
nourrice, ou comme la disparition de sa mère lorsqu'il n'était qu'un
enfant... Parallèlement, une équipe de Scotland Yard enquête sur la
mort violente de deux femmes écrasées par un chauffard. Et l'une
d'elles est justement la mère de Gideon."
984 pages en 3 jours. Presque pas de plage ni de sorties…. Je lisais. Je ne pouvais me détacher de ce livre. Cela doit faire des années que je n’ai pas lu un livre dont le suspense est aussi captivant.
Un crime est commis en tout début du livre, mais on reste en haleine jusqu’aux toutes dernières pages, et même jusqu’à la dernière ligne pour apprendre enfin le pourquoi et le comment de ce crime.
Un foule de suspects, tous pourraient être le criminel, mais qui l’est vraiment?
L’histoire s’articule petit à petit. Les enchevêtrements se dénouant petit à petit. Et où on s’aperçoit que la même histoire peut être vue et vécue de différentes façons, chacun voyant et vivant la situation à sa manière, de son angle de vue, qui n’est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus. Chacun étant subjectif, jugeant les gens et les situations en fonction de lui-même et en fonction de ses intérêts, ses peurs, ses angoisses, ses espoirs….
Ce livre, en plus d’être un policier haletant, est aussi un ivre psychologique. La manière d’être de chacun est expliquée, décrite, disséquée… Ses pensées les plus intimes sont étudiées. Ses comportements sont expliquées....
Je ne connaissais pas cet auteur. Ce livre m’avait été recommandée par la propriétaire de «Livris*», et comme d’habitude, elle a été de très bon conseil.
Rien de tel que de la belle musique pour passer un bon moment, y compris au bureau.
Tous ces après-midi, je reste seule au bureau, parfois même jusqu'au soir, et ces moments sont agréables grâce à la musique.
Comment seraient nos vies sans musique?
Je n'ose l'imaginer!
Je viens de passer plus d'une heure en compagnie d'Oum Kalthoum et Amal Hayati, et là je "déguste" Rissala min taht il ma de Abdelhalim Hafez. Pur bonheur!!!!
Et dire que des imbéciles interdisent la musique!
Ya rabbi ba3adhom 3alina, wa ba3id 3anna charhom. Ya Rab!
- Tu as vu le spectacle de Lotfi Abdelli, Made in Tunisia?
- Non. Et je n’ai pas l’intention d’aller le voir?
- Pourquoi? C’est un très beau spectacle.
- Non, je ne veux pas. Il ne fait qu’imiter Gad El Maleh.
J’ai eu cette discussion un nombre incalculable de fois. Et je ne comprends toujours pas. Je ne comprends pas les à priori et les préjugés de certains.
Idem pour la polémique sur Facebbok, le groupe contre le spectacle et la vidéo-montage mettant l’accent sur les similitudes entre le spectacle de Lotfi abdelli et celui de Gad El Maleh.
Des amis, ma petite famille et moi sommes allés voir la 2ème représentation de ce spectacle. C’était au Théâtre Municipal.
Nous avons ri de la première à la dernière minute.
Personnellement j’ai adoré ce show. Lotfi y était remarquable. Il jouait, dansait, mimait… Il passait d’un personnage à un autre et d’un accent à un autre avec une telle aisance!
Bravo. Il est vraiment très fort.
Alors, franchement, je ne comprends pas pourquoi toute la polémique et le dénigrement qu’il subit de la part de certains.
Il s’est inspiré de Gad El Maleh?
Et alors?
Il n’est ni le premier ni le dernier à le faire.
Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de son premier one man show.
Pensez-vous que Gad El Maleh, ou tous les autres humoristes, ne se sont pas inspirés de leurs prédécesseurs?
Pensez-vous qu’ils ont tous commencé leur carrière avec du génie?
Personnellement, je ne le pense pas.
Et puis, pourquoi ne pas reconnaître le talent de ce jeune artiste? Pourquoi ne pas l’encourager?
Et puis, est-ce si facile «d’imiter» Gad El Maleh? Ne faut-il pas un certain talent, ou plutôt un talent certain, pour le faire?
N’importe quel Tartempion aurait-il pu imiter aussi bien Gad?
Alors pourquoi personne ne s’y est risqué auparavant?
En plus, il y caricature notre société tunisienne, avec toutes ses classes sociales, avec tous ses travers, et parfois aussi ses qualités. Lotfi est tour à tour l’intellectuel, l’arriviste, le paumé, le soulard, l’opportuniste…
Un sketch a particulièrement attiré notre attention. Il s’agissait de téléphones portables et d’opérateurs téléphoniques. Il faut appuyer sur divers numéros. Il commence par le 1, ensuite le 2, le 3, le 4, le 5, le 6 et le 8. Bizarre non? Il manque un numéro!!!
Une certaine rumeur dit que…. Bravo Lotfi. Continue ainsi. Je suis sûre qu’avec de la persévérance, tu finiras par convaincre les récalcitrants et qu’ils seront bien obligés de reconnaître ton talent.
Quant à moi, j’attends ton prochain spectacle avec impatience, et je suis sûre qu’il sera aussi bon, sinon meilleur que celui-ci.
J'adore cette chanson depuis que j'étais gosse. A chaque fois qu'elle passait à la Tv, je restais scotchée devant l'écran pour l'écouter. Je ne sais pourquoi elle m'émouvait et m'émeut toujours autant, à me donner envie de pleurer à chaque fois.
كان
ده كان
كان اسمه حبيبي
كان
ده كان
كان يوم من نصيبي
ضحيت بعمري معاه مشوار
مشوار اسمه الحياة
و كان
أنا
أنا اللي بينكم هنا
رضيت بالعذاب لحد ما قلبي داب
ولا ذوقت يوم هنا أنا
و أنا
يا ما اتحملت أنا
قاسيت ولا اشتكيت
ولا جيت في يوم بكيت
منه لكم هنا أنا
لا عتاب حيشفي جراح ولا حيجيب إلي راح
دي حكايتي مع الزمان
الزمان
الزمان
حكايتي مع الزمان
رسملي علي السما جنه فيها الهنا
و قال حنعيش هنا
قولت أحلوت سنيني
و بنالي في الخيال
قصور من الآمال و قال ما فيش محال
نمت و غمضت عيني
و مرت الأيام و صحيت من الأحلام
ما لقيتش غير آلام و عذابي مستنيني
و أنا
أنا إلي بينكم هنا مش عارفه رايحه فين
ولا فاكره جيا منين
جابني الطريق هنا أنا
و أنا
ياما تحملت أنا
دموع ما تنتهيش و آلام ما تتنسيش
لو فات مليون سنه
أنا
لا عتاب حيشفي جراح ولا حيعيد إلي راح
دي حكايتي مع الزمان
الزمان
الزمان
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