Ce matin, réveil matinal. C'est la tradition, maman accompagne Poupée le premier jour de l'école.
Cela a été l'enfer d'attendre l'appel sous un soleil de plomb, mais pour les beaux yeux de ma petite princesse.....
Hier, j'ai passé toute la soirée à protéger les livres, coller les étiquettes...
Finies les vacances. Un peu trop courtes pour les enfants de la mission qui ont classe jusqu'au 30 juin et reprennent début septembre, mais c'est aussi tant mieux, parce qu'il vaut mieux aller en classe que rester idiot devant la TV ou internet.
Ma nièce qui est à l'école française ( lycée français de mutu) l'appelle " club med" , on entend souvent dans la maison papa tu me dépose au "club med" tonton c'est toi qui me raméne au "club méd" c'est juste pour dire le niveau très moyen de l'école française en Tunisie.
Sinon bonne rentrée
Rédigé par : Tunisien | 02/09/2009 à 13:42
Pas d'accord du tout. Je l'ai d'ailleurs déjà dit auparavant:
http://massir.blogs.psychologies.com/mon_massir/2007/04/quelle_cole_cel.html
Hier soir, en faisant du rangement dans le bureau de mon fils, j'ai trouvé des sujets d'examens qui lui ont été donnés il y a 2 ans en géo/histoire/instruction civique. J'ai vraiment été impressionnée. Je pensais d'ailleurs écrire une note à ce sujet, et je le ferais si j'en ai le temps.
Le niveau des écoles françaises en Tunisie est très bon, exception faite du Lycée Gustave Flaubert de la Marsa, qui a une très mauvaise réputation, et cela depuis que j'étais moi-même adolescente.
Rédigé par : Massir Destin | 02/09/2009 à 14:11
Por le primaire j'y étais dans une école francaise mais à l'époque dans mon entourage on l'appelait l'école des soeurs !
Le niveau était bon, puisque j'ai poursuivi par la suite mes études en france en integrant le systeme comme si j'ai poursuivi le cursus francais depuis le début.
Et je me rappelle, en tout cas qu'on carburait à fond, mais ca valait le coup !
Rédigé par : hejer | 03/09/2009 à 02:06
Tous les établissements scolaires sont devenus des instruments de bourrage de crâne, le savoir, ce n’est ni les maths, ni la physique, ni les sciences de la vie, ni les langues, ni l’histoire-géo . . . ; Loin de les négliger, mais le savoir vivre et notre humanisme sont beaucoup plus primordiaux, d’ailleurs, on peut s’y rattraper à n’importe quel étape de notre vie. Le savoir, ce n’est pas ce que les profs connaissent, mais c’est ce qu’ils ne connaissent pas ! En ce qui me concerne, je préfère que mes filles observent des plus démunis aux plus riches, des plus sages aux « sniffeurs » de colle, combinés aux matières d’éducation, ça ne pourrait que les forger et les guider à la réalisation d’elles.
Rédigé par : Zorboustra | 04/09/2009 à 10:58
L'école des sœurs c'était autre choses. C'étaient des écoles privées tenues par des sœurs chrétiennes. Il y en avait une à Mutuelleville (École Chevreuil), il y avait Jeanne d'Arc, il y avait l'archevêché à Carthage...
La mission par contre sont des écoles publiques françaises, rattachées à l'ambassade de France.
L'avantage des écoles tenues par les sœurs était que ces écoles enseignaient l'arabe comme les écoles tunisiennes, et le français comme les écoles françaises. Les élèves étaient donc bons dans les deux langues.
Et puis, la discipline était au top.
Rédigé par : Massir Destin | 14/09/2009 à 01:20
Observer les gens est insuffisant.
L'école seule est insuffisante.
Il faut les deux.
Mais l'avantage de l'école française en Tunisie est qu'elle apprend à réfléchir, et c'est ce dont on a besoin toute la vie....
Rédigé par : Massir Destin | 14/09/2009 à 01:21