"Le suicide n'est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face".
Citation d'un inconnu.
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Ok pour le suicide mais je ne suis pas d'accord avec la citation :)
Rédigé par : Werewolf | 07/01/2009 à 18:25
http://www.barbery.net/psy/suicide/lisezceci.htm
Rédigé par : Kiffe Grave | 07/01/2009 à 20:21
je suis votre blog depuis un an et vraiment ca fé plaisir de lire vos article,merci
Rédigé par : fidéle | 07/01/2009 à 21:05
massir, ce qui se passe a Gaza ne t'interesse pas? ne te gene pas? ne te revolte pas?
Rédigé par : rimoucha | 07/01/2009 à 21:06
@ Werewolf:
Pourquoi pas d'accord?
@ Kiffegrave:
J'ai vu ce site, c'est la réplique exacte de celui où j'ai pris cette citation.
Dès que l'on fait une recherche sur internet au sujet du suicide, on trouve plusieurs lettres "de secours" pour les gens désespérés. Elles disent toutes plus ou moins les mêmes choses...
En fait aucune aide concrète je trouve. Des discours bateau...
@ Fidèle:
Merci beaucoup. C'est gentil.
@ Rimoucha:
Qu'est-ce que tu en sais?
Parce que je ne passe pas mon temps à me lamenter sur ce blog à leur sujet? Ou parce que je ne discute pas politique? Ou parce que je ne cris pas à la vengeance?
Qu'est-ce que tu en sais?
Pourquoi se fier tjs aux apparences?
Rédigé par : Massir | 08/01/2009 à 00:32
Le suicide peut être aussi un choix, faut pas être nécessairement faible pour y penser, au contraire il faut beaucoup de courage, c'est toute une philosophie!
Rédigé par : Werewolf | 08/01/2009 à 10:17
Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face, le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des "idées noires". Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère; il n'y a pas à le juger moralement. C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter.
Rédigé par : nage libre | 08/01/2009 à 11:18
@ Werewol:
J'ai du mal à imaginer qu'une personne n'ayant pas de souffrances songe au suicide.
Une philosophie?
Par contre, je sais, et je suis sûre qu'une grande détresse conduit à préférer la mort.
Une détresse qui fait que tu n'as plus aucun espoir, ou qui t'anesthésie au point que tu ne peux plus rien ressentir et que la mort devient une alternative très acceptable.
Rédigé par : Massir | 10/01/2009 à 15:56
penser au suicide, c'est céder à l'insoutenable douleur de vivre les 5 prochaines minutes ... quand penser à ''tout à l'heure'' vous insupporte déjà, et que dire de demain !!!
Rédigé par : Soraya | 11/01/2009 à 13:28