L'autre jour à Paris, j'étais avec l'un de mes pères de cœur, il me demandait de mes nouvelles, je lui racontais tout ce que je vivais depuis quelques mois. Et soudain, il m'a fait une réflexion qui m'a faite rire, et qui, bien des jours après, me semble de plus en plus réelle. Il m'avait dit:
"Toutes les femmes du monde détestent leurs belles-mères, et toi, tu dois être la seule femme au monde qui dit que de tout ton entourage, ta belle-mère est la personne que tu aimes le plus. Tu es bien bizarre".
C'est vrai ce qu'il dit. Et même plus, ce ne sont pas seulement les femmes qui se plaignent de leurs belles-mères, beaucoup d'hommes aussi se plaignent des leurs. Mais moi, en 19 ans, ma belle-mère ne m'a jamais causé de tort. Elle a toujours été de mon coté. Elle a toujours pris ma défense. Elle m'a toujours aidée. Ces derniers mois, alors que je pataugeais dans mes problèmes, elle a été celle qui m'a le plus aidée, même plus que mon mari. Alors, oui, même si toutes les femmes n'aiment pas leurs belles-mères, moi j'aime la mienne.
Merci Mamie. Merci beaucoup d'être là et de me soutenir.
Papa, maman, vous m’avez appris que le mensonge et l’hypocrisie étaient des défauts. Vous m’aviez dit que la malhonnêteté est très grave. Que l’on ne doit jamais tromper les autres, ne jamais les trahir… Vous m’avez dit que les gens biens étaient ceux qui avaient des principes. Que les règles de la morale ne devaient jamais être transgressées….
Papa, maman, vous m’avez trompée.
On me dit aujourd’hui que la franchise, la sincérité, l’honnêteté sont des défauts. On me dit qu’il faut que je change. On me dit que je dois mentir. On me dit qu’il faut être hypocrite. On me dit que parfois il faut savoir être malhonnête, trahir, tromper…
On me dit que le fin justifie les moyens. On me dit que pour vivre dans notre société, il faut savoir s’adapter. On me dit que de nos jours avoir des principes est un handicap. On me dit que des notions telles que l’amitié, l’amour, la morale sont des leurres…
Papa, maman, on me dit tellement de choses!
Papa, maman, on me dit que je ne sais pas vivre dans notre société. On me dit qu’il faut que je change sinon je risquerais d’être exclue.
On me dit que la fidélité, l’amitié… sont inexistantes. Qu’on ne les trouve qu’au cinéma ou dans les films….
Papa, maman, on me dit tellement de choses!
Papa, maman, on me dit tout à fait l’inverse de ce que vous me disiez.
Papa, maman, pourquoi m’avez-vous trompée?
Papa, Maman, pourquoi m’avez-vous raconté toutes ces choses fausses?
Papa, maman, pourquoi?
Papa, Maman, pourquoi m’avez-vous faite ainsi?
Papa, maman, dites-moi pourquoi?
Papa, maman, vous a-t-on trompé vous aussi?
Papa, maman, vous ne saviez pas?
Papa, Maman, que dois-je faire aujourd’hui?
Vous écouter?
Les écouter?
Qui a tort?
Qui a raison?
Et aujourd’hui, dites-moi, papa, maman, que dois-je dire à mes enfants? Que dois-je leur apprendre?
Et moi, dois-je changer?
Papa, maman, je n’y arrive pas. Je suis perdue entre ce que vous m’avez appris et ce que l’on me dit aujourd’hui. Je suis perdue. Vraiment perdue.
Mais si je les écoute, ne me perdrais-je pas encore plus?
Waow. C'est génial. Je n'ai été créée que pour être une attraction destinée aux hommes!!!!
Eh, vous qui depuis des années me dites que les hommes et les femmes sont pareillement des êtres humains, qui me dites que nous sommes égaux, que nous avons les mêmes droits et obligations, que nous pouvons faire le même métier, que nous avons les mêmes capacités intellectuelles.... pourquoi vous ne m'avez pas dit que j'étais destinée biologiquement et par nature à être une attraction pour les hommes????
Pourquoi donc m'avoir fait perdre de longues années sur les bancs des écoles, des lycées, de la fac... alors que je n'étais destinée biologiquement et par nature qu'à distraire un homme?
Pourquoi m'avoir fait perdre du temps à lire, à apprendre, à travailler... alors que je n'étais destinée biologiquement et par nature qu'à servir d'attraction à un homme?
Pourquoi m'avez-vous fait croire pendant de longues années que j'avais un corps, propre à moi, et qu'il fallait que ce corps me serve à moi, alors que biologiquement et par nature, il ne devait servir qu'à satisfaire un homme?
Pourquoi pendant de longues années m'avez-vous fait croire que les femmes avaient le droit d'avoir une sexualité propre, d'avoir du désir et du plaisir, alors qu'en fin de compte, elles sont destinées biologiquement et par nature à juste satisfaire la libido d'un homme?
Depuis des mois et des mois je cris à la dérive que la Tunisie pourrait connaitre, apparemment je n'avais pas tort. Cela fait froid dans le dos. Où allons-nous?
En descendant la pente...
La blague du jour ? Un numéro raté d'une caméra cachée qui ne fait rire personne, ou un poisson d'avril paumé des saisons ? Non. Tout simplement la face blafarde d'une réalité crue et nue, à vous donner des frissons dans le dos. Car il ne faut jamais sous-estimer les indices précurseurs d'un déluge à venir, si l'on veut justement éviter le déluge. Dans un grand centre commercial assez éloigné du centre-ville, et pendant le mois de Ramadan, un client s'est arrêté un moment pour manger quelque chose sur le pouce entre deux courses. Pour des raisons qui le regardent, et ne regardent que lui (nous préciserons tout de même ici qu'il est diabétique et cardiaque), il est dans l'incapacité de jeûner. Mais cela importe peu en l'occurrence puisque la Tunisie est un pays modéré et aux dernières nouvelles, c'est toujours le cas. Sauf que, ne voilà t-il pas que notre homme est pris à partie par deux policiers, munis de talkies-walkies et officiant en civil qui l'interpellèrent sévèrement sur le fait qu'il soit en train de se restaurer, lui affirmant qu'étant tunisien, il n'avait pas le droit de le faire à l'extérieur de chez lui, et qu'il devait illico-presto, interrompre son déjeuner et partir. Abasourdi et choqué à la fois, il leur expliqua qu'il n'avait pas pour habitude de circuler avec son dossier médical à la main en guise de sauf-conduit pour cas de force majeure, et rentra chez lui, évidemment ulcéré. Ce ne doit pas être un cas unique, un cas isolé mais, à notre humble connaissance, c'est une première dans nos murs. Et c'est très grave... Parce que, la dérive est facile à partir du moment où l'on commence à emprunter cette pente en descendant, jusqu'à ce que, sans crier gare, on se retrouve dans le ravin. Et il ne faut pas que l'on se retrouve dans le ravin, parce qu'il n'est pas question que ce qu'ont bâti nos aïeux, à force d'y croire, pour nous sortir de l'obscurité et de l'obscurantisme, soit détruit en, deux temps trois mesures, par des énergumènes (investis ?) d'une mission rétrograde et absurde, qui consisterait à ramener les « brebis galeuses » dans le droit chemin. Qui plus est au nom d'une loi, qui n'existe pas. Mille fois non parce qu'il ne manquerait plus que de jouer aux courtisans, pour faire les yeux doux à certains voisins, pas si proches que cela, parce qu'ils auront eu la bonne grâce d'investir dans nos murs ; lesquels voisins seraient « offusqués » de constater que la Tunisie est un Etat modéré et qu'il entend bien le rester. Car autrement, comment expliquer ce genre d'attitude, inhabituelle et intolérable, dans un pays lequel, aussi loin que l'on remonte dans le temps, a toujours été un carrefour de civilisations successives qui auront forgé notre identité de tunisiens ? Parce que, si aujourd'hui des agents de l'ordre vous empêchent de prendre votre collation, demain il vous demanderont d'aller vous voiler, et pourquoi pas tant qu'à faire, de porter la « bûrquâ » ? Samia HARRAR
Ne peut-on donc faire confiance à personne dans ce fichu pays? A qui parler sans craintes? Avec qui peut-on se lier sans encourir de risques? A qui peut-on se confier sans représailles? Comment un ami peut-il être l'ami d'un ennemi? Que de questions!
J'aimerais partir loin, très très loin, loin de ce pays aussi grand qu'un tout petit village, où tous se connaissent et où je ne trouve plus la paix!
Hier après-midi, en allant acheter du pain, j'ai vu ces 2 belles voitures devant la boulangerie. Bien-sur, je les ai prises en photos, je n'allais pas les rater. Vous remarquerez la plaque d'immatriculation de la voiture bleue: série 17. C'est bien vieux!!!
Ensuite, je suis entrée dans la boulangerie. A la sortie, je suis abordé par un homme: "Ces voitures te plaisent?". Que répondre d'autre que: "oui". Sincèrement, elles sont bien belles. Alors, le monsieur me propose d'aller faire un tour avec lui. Il était l'heureux propriétaire de la belle voiture bleue. Je lui réponds par la négative. Il insiste... Je refuse et me dirige vers ma propre voiture (beaucoup moins belle il est vrai) avec un dernier regard à la belle bleue.
Lors du diner, je raconte cette petite anecdote à ma petite famille. Mon mari se fâche un peu contre le bonhomme à la voiture bleue. Moi, cela me fait me marrer, j'adore lorsqu'il est jaloux ainsi.
En fait, je trouve les hommes un peu rigolos à toujours essayer de draguer avec leurs voitures. Et puis, ils sont incorrigibles: ils ne ratent jamais une occasion pour essayer de draguer une femme. Et cela quelque soit l'âge des hommes ou celui des femmes.
Cela me rappelle une fois, j'étais gosse, et ma tante était venue nous voir de Sfax. Elle avait pris "louage", et en ville en attendant un taxi, elle se fait draguer à mort par un type qui la harcèle. Excédée, elle lui dit d'arrêter et qu'elle avait l'âge de sa mère ou de sa grand-mère. Que lui avait-il répondu?
- Ezbibe yittakil mkammich"!*
J'avoue que depuis, à chaque fois que je me rappelle cette anecdote, cela me fait rire. Surtout lorsque je me rappelle l'expression outragée de ma tante nous racontant ce qui lui est arrivé. Allah yarhmik ya Lalla Baya.
Mail reçu hier. Je trouve cet article intéressant, en plus, bien qu'il parle des Algériens, il s'applique aussi aux tunisiens. Je le publie tel quel, y compris le lien.
Chaînes satellitaires religieuses : Les stars de la prédication dans les foyers algériens
La profusion des chaînes de télévision satellitaires arabes a donné lieu au phénomène des prédicateurs et autres docteurs en sciences islamiques, devenus de véritables stars du petit écran.17 Septembre 2008, La voix de l'Oranie
Des orateurs talentueux mais dont personne ne contrôle l’exactitude du savoir religieux, ni les opinions politiques parfois extrémistes, font leur apparition...
A chaque mois de Ramadhan, leur audimat fait un bond en avant. Les chaînes religieuses telles Iqraa, Al Rissala ou al Nas TV voient leur influence grandir en Algérie auprès d’un public avide de conseils et d’enseignements religieux.
L’avantage de ces chaînes sur tous les autres médias, c’est que le public trouve ainsi disponible à toute heure de la journée et d’une manière gratuite un contenu moins coûteux et plus facile à consulter que les livres, chers, ou les CD-rom et les cassettes jusque-là en vogue.
L’argument d’attractivité de ces chaînes, en dehors de la diffusion du Saint Coran et des préceptes de la religion, est de mettre en avant des prédicateurs qui sont devenus de véritables vedettes de l’écran. Devenus célèbres grâce à une rhétorique bien maîtrisée, ils sont suivis par un large public, qu’il s’agisse des personnes âgées ou des jeunes.
Disposer de son prédicateur maison est devenu même un must pour toutes les chaînes arabes, comme le JT, la météo ou le feuilleton à l’eau de rose. Même le bouquet Rotana, destiné pourtant au divertissement, n’y échappe pas.
Ciblant un public jeune, ouvert sur la mode et les nouvelles technologies, Rotana a dû sacrifier à la mode des émissions religieuses en s’offrant, via sa filiale Rotana Khaleej, disponible sur Nilesat que tous les Algériens connaissent désormais, la star montante de la prédication, le docteur saoudien Ghazi Echchamri.
Son émission fait déjà polémique parce que diffusée à l’heure du f’tour, entre deux émissions de variétés et de vidéo clip.
Si ce débat n’a pas encore fait tâche d’huile, comme ce fut le cas pour le feuilleton à l’eau de rose «Noor», il dévoile à quel point les émissions de prédication religieuses sont devenues un segment indéniable du marché de l’audimat arabe.
En Algérie, la vedette n°1 en la matière demeure certainement l’Egyptien Amrou Khaled, 41 ans et déjà au top de sa carrière, en dominant trois chaînes religieuses et un site Internet, alors que ses revenus ont été estimés en 2007 à plus de 2 millions de dollars.
Maniant avec dextérité les techniques audiovisuelles, son discours prônant une pratique religieuse allant au-delà de la prière et de la zakat, mais un engagement pour le bien de la Oumma, il représente pour son public, à majorité féminin, le musulman adapté au 21ème siècle. Ce Ramadhan encore, il présente Qissass el Qor’an sur l’une de ses chaînes.
Mais il y a les autres. Le cheikh Youssef Al Qaradaoui demeure très suivi à travers son émission «Al-Chariaa wal-Hayet», sur «Al-Jazeera». L’on peut citer aussi Mohammad Hassan, Houssine Yakoub, Abdelkafi, Souidan, Wahdan et d’autres encore, de plus en plus nombreux, dont le cachet par émission est fonction de l’audimat suscité.
Le problème, c’est que, sauf sur certaines questions évidentes, peu d’Algériens qui regardent ces émissions peuvent faire la différence entre un prédicateur sunnite, chiite, malikite ou wahabite, etc.
Car ces prédicateurs sont désormais diffus dans un champ médiatique totalement incontrôlable, et ce, dans différents produits télévisuels, allant du talk-show au feuilleton en passant par la chanson.
Face à un enseignement public appauvri à l’extrême, une famille de plus en plus éclatée et des réalités dramatiques, les capacités du public à juger de la qualité des intervenants est quasi nulle.
Dans les foyers, en tous cas, la fidélité du public envers ces prédicateurs est totale, surtout en l’absence d’orateurs de poids à la télévision algérienne.
Le dernier en date a été le défunt Cheikh Mohamed El Ghazali, avec son émission du lundi dont beaucoup de personnes se souviennent encore.
Certes, en ce Ramadhan, l’ENTV a fait l’effort de transmettre, outre les causeries religieuses quotidiennes, des dourous sur la sunna el mohammadia.
Mais cela n’a rien à voir avec le côté «people» donné à leurs vedettes par les chaînes religieuses du Moyen-Orient qui empruntent beaucoup de leurs techniques aux shows du prosélytisme catholique présentés par les chaînes occidentales vouées à cet effet.
Quant au contenu de ces émissions religieuses, il n’existe aucune instance d’aucune sorte ou des balises qui mettent la religion à l’abri non seulement des manipulations, qu’elles soient politiques ou commerciales, mais surtout des erreurs, des ignorances et donc des atteintes au sacré.
L’on sait que l’Algérie, via son ministère de la communication, a été partisane de l’instauration d’un minimum d’éthique des télévisions arabes au début de cette année, poussant à l’adoption par La Ligue Arabe d’une charte à cet effet, en février dernier.
Ce document doit, en principe, restreindre les libertés des chaînes satellitaires arabes et prévoit des sanctions en cas d’»offense aux dirigeants ou aux symboles nationaux et religieux».
La position de l’Algérie avait été fortement motivée par les dérives de la chaîne Al Jazeera et son fameux sondage sur le terrorisme. Mais cela englobait aussi d’autres aspects qui n’ont pas tous des liens avec la politique. Invitant à une interprétation très élastique, le document touche tous les domaines.
Au plan de la religion, les chaînes satellitaires devront en outre «s’abstenir de diffuser tout ce qui porte atteinte à Dieu, aux religions monothéistes, aux prophètes, aux sectes et aux symboles religieux de chaque communauté».
On ne sait encore si la Ligue Arabe compte vraiment appliquer cette charte et mettre enfin en place des critères sérieux de sélection des prédicateurs dont personne n’est en mesure aujourd’hui de mesurer la compétence et le degré de connaissance dans le domaine religieux. Amine B.
Hier, je regardais Maktoub (suite à toutes les discussions et polémiques concernant ce feuilleton, je m'y suis mise moi aussi depuis 4/5 jours).
On nous a toujours montré Samia (l'épouse trompée) comme la victime (et c'est en effet ce qu'elle est réellement). Elle a subi son mari, ses infidélités...
Sa belle-mère l'adorait, et passait son temps à dire qu'elle était une fille bien, une mra 3a9la(1)...
Cette femme a enfin eu le courage de quitter son con de mari. Et elle veut utiliser les moyens mis par la loi à sa disposition pour préserver les intérêts de son fils.
Que fait la belle-mère?
Elle se retourne contre elle, et va jusqu'à dire du mal d'elle. Elle dit entre autres que les bnat 3ayla(2) n'agissent pas ainsi.
Ah bon?
Que doivent donc faire les bnat 3ayla?
Subir et se la boucler?
C'est ce que veut notre société?
Une bint 3ayla n'a-telle donc aucun droit?
Quoiqu'on lui fasse, elle doit se la boucler?
Cela m'énerve et me casse les pieds. Je ressens cela comme une injustice.
Depuis quelques mois, une personne proche s'est mise dans la tête de me pourrir la vie. Tout le monde le voit et personne ne réagit. Et on me lie. On ne me laisse ni me défendre ni rétorquer. Déjà que je ne sais pas réagir face à la méchanceté et à l'hypocrisie, mais en plus, on me demande de faire celle qui ne voit rien. Comment faire? Cela dure depuis des mois, et je n'en vois pas la fin.
On me dit que je suis une bint 3ayla, une mra 3a9la, wi koun la39al minni(3)... Discours classique.
Mon propre mari me dit qu'il sait que je suis madhlouma(4), mais il ne fait rien. Il ne prends pas ma défense pour ne pas créer de problèmes supplémentaires. Et cela me fait enrager encore plus.
Ok, mais moi?
Dois-je aussi me la boucler pour ne pas faire de vagues?
Est-il normal qu'on laisse le dhalim(5) agir à sa guise parce que bnat il 3ayla ne doivent pas réagir?
Je veux bien faire plaisir, je veux bien éviter de créer des problèmes... ok, mais 7a99i ana(6)? Qui va s'en charger?
Que l'on me dise que j'ai raison, mais que je ne dois pas me défendre, me met en colère. Cela commence à vraiment me faire mal. Mais on me dit de ne rien faire. Je suis une bint 3ayla. Et alors????
Jusqu'à quand?
Et pourquoi personne ne vient dire à cette personne que les bnat et wwled 3ayla ne doivent pas faire du mal à autrui. Pourquoi est-ce seulement à moi que l'on dit cela?
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