Hier, j'avais organisé un diner chez moi à l'occasion de l'anniversaire de ma belle-mère. C'est une femme formidable et je voulais lui faire plaisir.
J'avais invité 25 personnes.
Ils avaient tous confirmé.
Seulement, 10 personnes avaient décidé de ne pas venir, sans même prévenir, sans même me passer un coup de fil.
Ce qui m'a énervée, c'est qu'ils avaient confirmé. Pourquoi confirmer lorsque l'on sait qu'on ne viendra pas?
Les attendre? Ne pas les attendre?
Ensuite, j'ai appris qu'il y avait des susceptibilités entre certaines personnes. Mais cela ne nous concernait en aucune manière, ni mon mari, ni ma belle-mère, ni moi.
Je me suis retrouvée avec une diner pour 25 personnes, alors que nous n'étions que 13 (2 personnes avaient eu un empêchement et avaient téléphoné).
J'étais vraiment en colère.
Toute cette nourriture en trop.
Toute mon organisation fichue.
Après, il a fallut tout ranger, partager la nourriture, mettre dans des boites au congélateur...
Franchement, ce n'est pas normal. Pas normal du tout.
L’action est prévue pour le 8 janvier 2010 sous forme de séminaire. Le public visé se constitue
essentiellement de jeunes, de leurs parents et de médecins de différentes
spécialités. Nous espérons arriver à les sensibiliseraux problèmes relatifs auxtroubles alimentaireschez l’adolescent.
Invitation
Le président de l’association pour la promotion de
la santé mentale ainsi que le président de Jeune Chambre International Ariana
junior ont l’honneur de vous inviter à la journée d’échange autour des troubles
du comportement alimentaire chez les adolescents qui aura lieu le 08/01/2010 à
la cité des sciences.
Programme de la manifestation
13h30 : Accueil et
inscription des participants
13h45: Ouverture officielle et lecture du credo
14h00 : Mot de Mr Le
président de l’APSMEA
14h05 : Mot de Mlle la
présidente de JCI Ariana
14h10 : Mot du directeur de
la manifestation
14h15 : Ouverture officielle par la secrétaire d’état à la
santé : Mme le Pr N Miladi
Première
séance :
14h30 : L’adolescence mythe
ou réalité? Dr M.N Mezghani
14h45 : L’image du corps
chez l’adolescent Dr W Koubaa
15h00 : Les besoins
alimentaires à l’adolescence Pr Dakhli
15h15 : Débat
15h30 : Pause café
Deuxième séance :
15h45 : L’anorexie et la
boulimie : comment les repérer ? Pr A.Bouden
16h00 : les troubles du comportement alimentaire : point de vue
du nutritionnistePr Dakhli
16h15 : Débat et témoignages
des parents
16h45 : Lecture des
recommandations
17h00 : Mot du président
national de JCI
17h05 : Clôture
J'espère que vous serez nombreux à cette manifestation.
C'est l'Association pour la Promotion de la Santé Mentale de l'Enfant et de l'Adolescent.
C'est une association à but non lucratif et à caractère social qui a vue le jour fin 2006.
L’idée qui a motivé
la création de cette association est de permettre
aux tunisiens à revenu modeste, voire faible, de pouvoir consulter un
spécialiste afin d’apporter des réponses aux difficultés scolaires de
leurs enfants.
Comme vous le savez, le tunisien a souvent des préjugés. Il
considère qu’il n y a que les fous qui consultent un psychiatre. Il se
demande si le fait d’avoir des difficultés scolaires relève de la
maladie mentale. Aller consulter à Razi lui est insupportable.
Cette association
a donc essayé de mettre en place, dans un cadre neutre et agréable,
un centre de dépistage comprenant pédopsychiatre, orthophoniste,
psychologue, éducateur et autres. Ce centre s’appelle le Centre Médico-Psycho-Pédagogique
(CMPP).
Au terme de ce bilan, l’enfant est pris en charge soit en
individuel soit en petit groupe dans une deuxième structure qu’on appelle
Centre d’Accueil Thérapeutique à Temps Partiel (CATTP).
Les enfants
y viennent le mercredi après midi ou le samedi pour participer à des
ateliers comme l’atelier de modelage, l’atelier de créativité,
l’atelier de dessin ou de musique.
Chaque atelier est
animé par deux adultes: un psy et un artiste. Il comprend généralement
5 à 6 enfants du même age ou presque et qui ont la même problématique. L’objectif est de permettre à ses enfants, en utilisant la dynamique de groupe, de pouvoir travailler sur leur vécu.
Progressivement est
venu la nécessité de faire un travail de liaison avec l’école. Ce
travail de liaison a pour objectif de contacter le cadre scolaire pour
voir avec lui les difficultés qu’il rencontre avec tel ou tel enfants
pris en charge dans le cadre de l’association et voir les aménagement à
apporter au niveau scolaire pour faciliter son intégration. Cela se
fait par le biais de réunions éducatives pouvoir définir un projet
d’accueil individualisé (PAI).
Ce travail de liaison est assuré par une
Equipe Adulte Relais (EAR).
Cette équipe a aussi pour objectif
d’améliorer les connaissances du tunisien en terme de développement
psychologique des enfants. Elle anime des tables rondes dans les jardins
d’enfants qui le souhaitent. Elle organise des journée de
sensibilisation ouvertes au tout venant.
L'association a aussi pour
objectif de créer un centre pour enfants autistes légers. Ce projet
consiste a créer une structure capable d’accueillir des enfants non
scolarisables, de 8h du matin à 17h, 11 mois par an. Cette structure
permet à ces enfants d’avoir un projet de soin comportant un volet
thérapeutique, un volet pédagogique, et un volet éducatif ou
rééducatif. Ce projet nécessite un lourd budget pour son
fonctionnement. Il n’est pas rare comme vous le savez de recevoir dans
le cadre de l’association des parents désespérés en difficulté avec
leur enfant autiste.
Comment est-ce que vous pourriez aider?
C'est très simple.
L'association espère avoir
plus d’adhérents afin de pouvoir concrétiser ses objectifs pour le bien être des enfants.
Et si vous deveniez membre de cette association?
Cela
ne coute que 30 dinars par an. Ce n'est pas cher. Vous donnez 30
dinars, vous aidez des enfants. Et vous n'êtes en aucun cas obligés
d'assister à des réunions, ou d'aller quelque part, ou de faire quoique
se soit....
Vous devenez membre, vous donnez
30 dinars. Cela fait plus d'argent pour l'association. N'oubliez pas
que cette association n'a aucun revenu, et qu'elle a des charges, entre
autres le loyer à payer.
Et puis, lorsque le nombre
de ses membres augmente, elle a encore plus de poids face à
l'administration pour obtenir des autorisations, de l'aide...
Avouez que 30 dinars par an, ce n'est pas énorme.
Mais si vous voulez donner plus, vous serez membre honoraire!
Mais vous pouvez aussi leur faire des dons sans être membres.
C'est comme vous le souhaitez.
Sinon, vous pouvez aussi donner du temps, ou une compétence, ou des biens d'équipements....
Sinon,
si vous pouvez animer un atelier, aider en informatique, consacrer un
peu de temps aux enfants... pourquoi pas? Cela peut être très
gratifiant!
Mes enfants adorent les fajitas. J'en ramène parfois lorsque je vais en voyage, mais ils adorent tellement que parfois, ils n'ont pas envie d'attendre que je parte à l'étranger pour en ramener.
Alors, un jour, j'ai inventée une recette. En fait, inspirée des fajitas mexicaines, mais aussi des mlawis tunisiens.
Pour la fajitas/mlawi elle-même, j'utilise soit du pain libanais que l'on trouve un peu partout dans les grandes surfaces, soit des malwis fait maison.
Pour 4 personnes:
- une douzaine d'escalopes de dinde
- 3 oignons hachés
- 5 tomates
- 200 gr de moutarde
- Harissa 3arbi
- 2 cubes knorr poulet
- Des épices: "cuisinez à l'espagnole" et "cuisinez à la mexicaine" de Ducros
- de la Pimento sauce Heinz
- du gruyère râpé
- 8 pains libanais ou fajitas ou mlawis.
Faire revenir les oignons hachés dans une poêle en téflon. Ajoutez les tomates coupées en petits dés et cuire encore.
Coupez les escalopes de dinde en lamelles.
Dans un bol, mélanger la moutarde, l'harissa, les cubes Knorr et la Pimento sauce jusqu'à ce que le mélange devienne homogène et onctueux.
Mettre les escalopes et la sauce dans la poêle. Ajoutez les épices selon les goûts. Remuez de temps en temps jusqu'à cuisson complète des morceaux de dinde.
Salez si vous voulez, mais attention, les cubes knorr, la harissa et la moutarde sont déjà très salés.
Réchauffez les mlawis (ou fajitas ou pains libanais).
A table, chacun fait sa propre fajitas en mettant la farce et en la recouvrant de gruyère râpé.
Elle nous en parle à chaque occasion, et nous a donné l'envie de le connaitre.
La semaine dernière, j'ai acheté mon premier livre de cet auteur: "L'attente".
Je l'ai commencé hier soir.... et je l'ai fini le matin.
J'ai beaucoup aimé ce livre.
Le style. La narration. Les observations de l'auteur.
Toute l'histoire se déroule entre une autoroute menant vers l'aéroport de Tunis-Carthage, jusqu'à l'arrivée à l'aéroport de Paris (probablement Orly, vu que la compagnie est tunisienne!!!).
L'attente.
Le personnage principal va d'une attente à l'autre. D'une queue à l'autre. D'une salle d'attente à l'autre....
L'attente. Les contre-temps.
De longues heures d'attente... alors que la vie par ailleurs continue.
L'auteur part de l'individu pour arriver au collectif.
Un homme qui attend. Des gens qui attendent. Une nation qui attend.
Un homme dont la vie passe, qui se pose des questions. Et qui attend. Quoi? Qui?
Un homme désabusé, dont la vie s'enchevêtre dans le quotidien, dans la routine.
Et qui attend.
Un homme qui attend une autre vie. Un nouvel amour. De la sensualité. De l'amour.
Il observe les autres passagers et imagine leurs vies. Il imagine leurs pensées.
Le livre traite surtout de l'identité des arabes, de leurs attentes, de leurs retards, de leurs comportements... de la vie qui passe, et qui ne les attend pas. Du retard qu'ils ont pris alors que le monde avance.
Depuis quand les arabes sont-ils en attente?
Depuis quand sont-ils en retard?
Et en retard par rapport à qui? A quoi?
Par rapport à un monde qui ne les attends plus?
Par rapport à un monde qui veut leur donner des leçons mais qui leur ment?
Le monde qui avance, impose sa façon de vivre.
Le monde des occidentaux, des découvertes, des inventions... impose sa façon d'être, de penser... à des gens qui ont oublié d'avancer. Qui se sont arrêtés? Qui sont loin derrière?
Pourquoi sont-ils loin derrière?
Parce qu'ils ont oublié d'avancer?
Parce qu'ils se sont perdus en cours de route?
Parce qu'ils attendent? Mais qu'attendent-ils?
Pourquoi tous ces contre-temps?
Qui en est responsable?
Les arabes?
Les occidentaux?
Que sommes-nous donc devenus?
Ce livre est plein de questions, d'observations, de constats, d'espoirs, de désillusions...
Ce livre n'est pas une histoire, je ne pourrais donc vous le raconter. Mais au fur et à mesure, j'ai marqué des pages. Des extraits que j'aurais aimé partager avec vous. Ensuite, je me suis aperçue que j'ai marqué presque tout le livre. Il est donc impossible de vous recopier tous ces extraits. Je ne peux que vous conseiller de le lire.
Au hasard, j'ai choisi quand même cet extrait, où l'auteur s'interroge sur la modernité:
Si peu qu'il s'élève, le regard s'égare dans le pullulement de la ville. Lego de cubes, de parallélépipèdes s'étageant, se jouxtant, formant des angles d'ombre et de lumières. Ici une tour émerge. Là-bas la boite à chaussures bleue c'est l'hôtel Africa. Au fond une barre, dont le cloisonnement des vitrages réfracte une clarté plus tranchante maintenant. Le soleil s'est hissé au-dessus de la coupole du marabout. A l'ouest, par-delà le miroitement du chenal, un gratte-ciel cuirassé de diamants, siège de quelque banque ou compagnie d'assurances. C'est pas Manhattan, non plus, faut pas croire. Nos buildings, c'est à peine s'ils effleurent la cheville des nuages. Encore aura-t-il fallu que le ciel fût très bas.
C'est juste pour faire moderne. La modernité, voilà notre grande affaire. Comme on ne sait pas par quel bout la prendre, on s'épuise à lui courir après. Dès qu'il nous semble l'avoir rattrapée, enfin, elle s'envole. Loin devant. On l'a en point de mire, mais elle détale. Minuscule, là-bas, à l'horizon. Inaccessible. Nous narguant. Nous abandonnant à la croisée des chemins. Entre les sourates qui assourdissent les coins de rues et les portables qui stridulent à tout bout de champ. L'ordinateur, le numérique, internet. Les icônes du contemporain. Écartelés entre la parole révélée et les multimédia.
Comment relier notre passé à notre futur? La quadrature du cercle. Étonne-toi alors qu'on soit un peu paumés. Immergés dans l'ère de l'apparence. Mais alors jusqu'au cou. Submergés. Du faux semblant. Du triomphe de la télé-réalité. Des paraboles. Des centaines de chaînes qui passent les mêmes séries. Chantent les mêmes chansons. Racontent les mêmes sornettes. Concoctent les mêmes manipulations. Empêtrés que nous sommes dans l'infini diversité de l'Un. De la pensée unique. De la langue de bois. De la Communauté Internationale. Appelle-la comme tu veux, c'est du pareil au même.
Et nous, traînant toujours en queue de peloton. Il y a déjà beau temps que le maillot jaune a franchi la ligne d'arrivée que, loin derrière, nous suons sang et eau pour tâcher de rentrer dans les délais. On s'évertue pourtant à nous seriner de leçons de modernité, matin et soir. A nous en tartiner à l'heure du déjeuner, du dîner. Rien à faire. On est pas doués pour, faut croire.
L'Occident ne cesse de nous mitrailler de modernité à travers les ondes cathodiques. Des siècles que nous avons désappris de l'inventer, la modernité. Depuis Haroun Er-Rachid, ou peu s'en faut. C'est un produit d'importation, la modernité. C'est ainsi que s'édifièrent les empires coloniaux. A coup de modernité. A coup de machines, de bateaux, de trains, d'avions. Et aujourd'hui d'ordinateurs, de téléphones mobiles, d'internet... Les armes viennent en appoint. Quand tu n'inventes plus ta modernité, ce sont les autres qui l'écrivent pour toi. Ne reste plus qu'à la copier. Bêtement. Servilement. L'inventeur de la modernité est le maître de ton avenir. Et alors il t'impose le sien. Deux mondes. Celui où on invente l'avenir, celui où on le subit. C'est affaire d'espace, pas de temps.
Question. Pourquoi un jour a-t-on cessé d'inventer notre avenir? Peut-être parce qu'on s'est fatigué à inventer Allah. L'algèbre. La nomenclature des autres. Fatigués à inscrire le paradis d'Allah sur une terre ingrate. A ciseler dans le stuc des stalactites au milieu de jardins de roses, de miroirs d'eau cernés de cyprès. Et maintenant c’est trop tard. Trop de retard accumulé. Maintenant on
est largués. Et c’est pas d’hier. On l’a laissée derrière nous, notre
modernité, un âge d’or, brocards et damas, bassins réfléchissant des
dentelles de pierre, vasques où pleuvent des jets d’eau, jardins de
délices... Tous ces cache-misère de la nostalgie millénaire.
J'espère que cet extrait vous a plu.
Le seul point qui m'a "embêté" dans ce livre, sont les répétitions. Quelques répétitions parfois. Dommage.
Paru en avril 2007, "L'attente" est le
sixième roman de Ali Bécheur. Il a obtenu le grand prix du roman tunisien de langue
française, décerné par Fouq Essour.
Ali Bécheur, deux fois lauréat du prestigieux prix Comar d’or, n’a
cessé au fil des années et des œuvres de confirmer une vocation
première, devenue aujourd’hui la voix la plus originale de la
littérature tunisienne d’expression française.
J'ai hâte de lire d'autres livres de ce même auteur.
"On se marie par manque de jugement. On divorce par manque de patience. Et on se remarie par manque de mémoire" - André Roussin
"L'amour, la quête. Le mariage, la conquête. La nuit de noces, la quéquette. Le divorce, l'enquête" - Helen Rowland
"Les femmes se divisent en deux catégories: les célibataires, qui ne rêvent que mariage; les mariées, qui ne rêvent que divorce" - Georges Elgozy
Attention les femmes mariées, il y a la queue pour épouser vos maris dès qu'ils seront libres!
"Le divorce ressemble au meurtre en ce qu'il est plus difficile à commettre qu'à envisager" - Jack Womack
Bien vrai!
"Si tous les hommes se comportaient après leur mariage comme ils le font durant les fiançailles, il y aurait moitié moins de divorces et deux fois plus de faillites" - Anonyme
Là, je suis loin d'être d'accord, du moins pour la Tunisie, parce que de toute façon un homme qui divorce se remarie rapidement, et généralement avec une minette... et alors là, bonjour les dégâts!!!!
"La séparation et le divorce sont des poignards à deux tranchants: il faut s'en blesser d'un côté pour les enfoncer de l'autre" - Proverbe chinois
Voici une recette que j'ai essayée hier au diner. A l'origine, je l'avais trouvée sur un livre de cuisine, mais je l'ai un peu changée, surtout en augmentant un peu la sauce pour que les pâtes ne soient pas sèches.
Tous les ingrédients se trouvent chez Carrefour.
Pour 4 personnes:
- 400 g de nouilles chinoises au riz
- de l'huile de sésame
- 3 oignons
- 5 c à s de sauce aux huitres
- 5 c à s de sauce soja
- 2 c à c de sucre
- 3 c à s d'huile végétale
- 3 c à c de gingembre
- 2 gousses d'ail haché
- 500 g de seiches (ou crevettes)
- 300 g de germes de soja (sinon du choux vert haché très finement).
- des épices "5 parfums chinois" de Kamy.
Couper l'oignon très fin, faire revenir dans l'huile végétale dans un wok ou une grande poêle en téflon. Ajoutez le gingembre et l'ail, et faire revenir encore. Ajouter les seiches coupées en morceaux. Faire revenir jusqu'à cuisson.
Ajoutez les germes de soja (ou le choux), faire revenir.
Pendant ce temps, faire cuire les pâtes dans de l'eau bouillante en suivant les instructions sur le paquet.
Hier, c'était la première fois que je faisais cuire des nouilles chinoises à base de riz. C'est un peu déroutant, parce qu'elle restent un peu dure, comme les pâtes al dente. Mes hommes ont préféré d'ailleurs ces pâtes au riz aux pâtes à base de blé.
Dans un bol, mélanger la sauce aux huitres, la sauce de soja, le sucre et du poivre. J'ai ajouté par rapport à la recette originale des épices "5 parfums chinois" de Kamy.
Égouttez les pâtes, rincez-les à l'eau froide, les égouttez à nouveau. Ensuite, mettez-les dans un grand bol et mélangez-les avec l'huile de sésame, jusqu'à ce qu'elles soient bien imbibées.
Dans le wok, ajoutez les pâtes et la sauce aux huitres.
Faire cuire en tournant jusqu'à ce que tout soit bien chaud et bien mélangé.
Les commentaires récents