Cast: Ahmad Zaki, Youssra, S. al-imary, Gamil Ratib, H. Ahmad
Under the burning sun of an Egyptian August, an airplane makes a
forced landing in the desert sand near an oasis. The twelve survivors
of the disaster construct a micro-society which is a reflection of
their own, with all its alliances and conflicts. This film was shown in
1987 at the Venice Film Festival.The director says, "I had been trying to make this film for more
than twenty years, ever since the very first days of the socialist
transformation. Even today I run into people that do not understand the
meaning of socialism or democracy. The oppressed, the workers, the
poor-some of these are even opposed to these ideas. Those who call most
vocally for socialism and democracy have been a very bad advertisement
for them. The idea for the film came from this, to present those
questions which ff we were able to answer we would find the answers to
many of the problems of our society, and perhaps we have succeeded."
Bien que le film date de 1986, le dialogue reste d'actualité. Je dirais même plus que jamais d'actualité.
Préjugés. Amalgames. Manipulations....
Ce sont toujours les mêmes discours, et surtout les mêmes insultes: molhid (athée) et kaffer (mécréant) et même démocrates!
Démocrate, va ! mdr !
Rédigé par : Bakhta | 25/08/2009 à 18:56
hehe, je me rappelle bien avoir éclaté de rire en regardant il y a quelques années cette scène d'anthologie du cinéma égyptien.
Rédigé par : Houssein | 25/08/2009 à 20:14
Un trés bon film à voir ....j'ai tjrs aimé le revoir
Rédigé par : alhallege | 25/08/2009 à 22:57
Un petit coucou, juste pour rappeler l'existence du site de Silou, pour pallier aux défaillances de MAJ:
http://derniersblogsmisajour.blogs.psychologies.com/misajour/
Bonne journée.
Rédigé par : Account Deleted | 26/08/2009 à 05:45
Merci beaucoup Lili.
Décidément, la MAJ est la bête noire de Psychologie.com. Ils arrêtent pas de buter dessus!
Rédigé par : Massir Destin | 27/08/2009 à 01:02
Il y a des films dont on ne se lasse jamais. En plus, avec l'âge, on les voit à chaque fois différemment et on y découvre de nouvelles choses.
Rédigé par : Massir Destin | 27/08/2009 à 01:03