Trouvez-vous normal qu'on permette à ce genre d'énergumène de parler en public et de faire des discours?
Où est l'État Égyptien?
Pourquoi ne réagit-il pas?
Pourquoi ne protège-il pas ses citoyens non-musulmans de ce genre d'énergumènes et de leurs disciples?
L'insulte, la diffamation, l'incitation à la haine ne sont-ils pas punis par la loi?
Ce discours haineux est-il digne d'une homme qui se prévaut de Dieu?
Parle-t-il au nom de Dieu?
Je trouve que ce genre de personne ne fait, au contraire, que porter atteinte à l'islam, et j'espère qu'il ne trouvera personne pour l'écouter!
P.S.: Je ne sais pas combien de temps cette vidéo sera visible. Je ne l'ai pas trouvée ailleurs que sur facebook. Et comme plusieurs vidéos de ce genre, elle pourrait disparaitre. J'espère que vous pourrez la voir avant que cela n'arrive.
Update (14h51): Je viens de m'apercevoir qu'on ne peut voir cette vidéo que si l'on est connecté à Facebook. Désolée.
Ce matin, réveil matinal. C'est la tradition, maman accompagne Poupée le premier jour de l'école.
Cela a été l'enfer d'attendre l'appel sous un soleil de plomb, mais pour les beaux yeux de ma petite princesse.....
Hier, j'ai passé toute la soirée à protéger les livres, coller les étiquettes...
Finies les vacances. Un peu trop courtes pour les enfants de la mission qui ont classe jusqu'au 30 juin et reprennent début septembre, mais c'est aussi tant mieux, parce qu'il vaut mieux aller en classe que rester idiot devant la TV ou internet.
«Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant?»
"On dit souvent que le temps guérit toutes les blessures. Je ne suis pas d'accord, les blessures demeurent intactes. Avec le temps, notre esprit afin de mieux se protéger, recouvre ses
blessures de bandages et la douleur diminue mais ne disparait jamais." - ROSE KENNEDY
Il y a quelques années, j'ai eu à m'occuper d'un dossier avec Tunisie Telecom.
Un client, promoteur immobilier, avait construit quelques années auparavant, une résidence comprenant plusieurs villas. Ces villas étaient destinées à la location. Comme elles étaient d'un certain standing, ces villas se devaient d'être pourvues d'une ligne téléphonique. Au fil des années, certains locataires indélicats avaient omis de payer leurs factures téléphoniques. Vers décembre 2000, Tunisie Telecom avait donc envoyé à mon client des mises en demeure pour payer ces factures avant de porter l'affaire devant les tribunaux. Il s'agissait en fait d'environ une dizaine de lignes téléphoniques, et pour certaines, les impayés étaient de plusieurs milliers de dinars. J'avais besoin de connaitre les détails de chaque ligne, la date des factures impayées, la période concernée...
Je prend RDV avec le service contentieux de l'agence Tunisie Telecom concernée. Quand on dit service contentieux, il s'agit en fait d'un tout petit bureau occupé par 3 fonctionnaires qui s'occupent de tout sauf de leurs dossiers.
A mon premier RDV, malheureusement le système "tayah". Je suppose que vous connaissez tous cette expression. Depuis que l'administration tunisienne a installé l'informatique dans ses services, "il système baqui tayah!!!" Je me demande d'ailleurs pourquoi?
Un autre RDV est pris.
Deuxième RDV, il système mouch tayah, il hamdillah. Mais j'avais appris une chose très curieuse. C'est que la facturation et le paiement des factures n'étaient pas gérés par la même logiciel.
Je m'explique. En principe, le même logiciel doit gérer les deux opérations. Une facture est éditée, ensuite lorsqu'il y a paiement, il doit être lettré et payer cette facture-là. Or, chez Tunisie Telecom, du moins à l'époque, il y avait 2 logiciels pour ces deux opérations. Un logiciel édite les factures et un autre logiciel enregistre les paiements.
Il fallait donc basculer d'un logiciel à l'autre. Impossible de savoir quelle facture n'a pas été payée. On pouvait juste calculer le solde débiteur par ligne téléphonique, et essayer ensuite de deviner quelle est la facture non payée.
En tâtonnant, en faisant presque un travail de détective, en faisant des déductions... nous arrivons, tant bien que mal, à avoir une certaine image de la situation. Certaines factures étaient d'ailleurs déjà payées, mais les paiements n'étaient pas dans "le système". Je laisse une copie de ces factures payées pour régularisation et je passe à la caisse payer tout l'arriéré.
Je demande par ailleurs un rétablissement de ces lignes et leur transformation en lignes pré-payées. Je paye les frais de rétablissement et les frais de transformation. Je pense que l'affaire est réglée.
Mais ce n'était pas le cas.
Les jours passent, aucune ligne n'est rétablie.
Nouveau RDV.
Problème: le fonctionnaire avec lequel j'avais vu tout le dossier n'était plus là. Congé. Donc, il faut tout re-expliquer au remplaçant.
Pourquoi donc les lignes n'avaient pas été rétablies?
Il parait qu'il y avait encore des factures non payées!
Ah bon??
OK. Nous refaisons les calculs. Recopies des factures payées dont il n'avait pas été tenu compte. En plus, on me sort de nouvelles factures de frais fixes, soit environ 8d,000 par ligne. Je paye.
C'est bon?
C'est bon. Les lignes seront rétablies.
Mais elles ne l'ont pas été!
Nouveau RDV. Nouvelle réunion.
Pourquoi les lignes n'avaient-elle pas été rétablies?
Il parait qu'il y avait d'autres frais à payer, pas grand chose, environ 2/3 dinars par ligne.
Ah bon? Encore?
OK.Je paye. On n'est plus à cela près!
C'est bon? C'est fini? Dossier complet?
OUI. Parfait. Plus de contentieux, les lignes seront rétablies.
Les jours passent. Les semaines. Mais rien. Rien de rien.
Réclamations. Coup de fils. Et ensuite nouveau RDV.
Pourquoi donc? Que se passe-t-il?
Il parait que pour certaines lignes, il reste encore des factures non payées.
Comment est-ce possible?
Et tous les reçus que j'ai, et tous les calculs, et toutes les RDV, et...?
Je commence à m'énerver grave. Je demande à rencontrer le chef d'agence.
C'était une femme. Très aimable. Elle me reçoit dans son bureau. Je lui explique la situation. Je lui montre les divers reçus.... Elle photocopie tout le dossier et me promet de s'en occuper. Je lui laisse mes coordonnées, elle devait m'appeler.
Elle n'a jamais appelée.
J'ai appelé. J'ai envoyé un coursier. J'ai voulu un nouveau RDV.
En vain.
Alors, j'ai abandonné.
J'ai d'ailleurs regretté les paiements effectués.
2 ou 3 années plus tard, nouvelles mises en demeure. Il restait encore des factures de frais fixes non payées!
J'ai mis ces mises en demeure dans un dossier, et je l'ai classé.
Cela ne sert à rien d'essayer de solder ce dossier. Il ne le sera jamais à l'amiable.
Autant attendre une convocation devant le tribunal. Peut-être que les reçus prouveront à ce moment-là que les factures avaient été payées.
Ou au moins, il y aura une chance que ce dossier soit enfin clos.
Trop tard. Beaucoup trop tard. Nous passons à côté sans nous en rendre compte. Nous laissons les choses se tasser. Nous remettons aux lendemains. Nous gardons nos sentiments. Nous gardons nos griefs…..
Je viens de finir ce livre. J’ai bien aimé. Il s’agit d’un homme qui décède subitement à l’âge de 34 ans. Mais il ne s’en va pas. Il reste là. Pensées, âme, conscience, présence… lui-même ne sait pas ce qu’il est exactement. Il est là, tout simplement. Il est là où ses proches vivants pensent à lui. Il les survole. Il est dans leurs pensées. Il les observe. Il les comprend…
Mais trop tard, il est mort. Ils ne peuvent l’entendre, et la vie continue…
Il se rend compte de ce que les autres pensaient vraiment de lui, de ce qu’ils attendaient de lui, comment ils l’aimaient ou ne l’aimaient pas, de leurs attentes déçues, des non-dits… Mais trop tard. Beaucoup trop tard, il est mort et ne peut plus rien pour rattraper le temps perdu, les mots qui n’ont pas été dits, les gestes qui n’ont pas été accomplis….
Trop tard. Vraiment trop tard. Mais souvent c’est justement trop tard que l’on comprend enfin les choses, que l’on comprend enfin ce qui a de l’importance et ce qui n’en a pas.
«Pourquoi ne fait-on l’effort de comprendre les autres que lorsqu’ils ne vous gênent plus? Elle (sa femme) avait tout pour me fournir l’amour qui remplit une vie et nourrir une œuvre. Mais j’avais cherché ailleurs pour me croire libre. Je n’avais plus vu en elle qu’une obligation de réserve, due aux voisins, à notre fils, et je lui avais reproché mes scrupules, mon indécision, ma fuite immobile. Si c’était à recommencer….»
Ce passage m’a particulièrement «parlée». Pourquoi? Parce que justement, dans mon entourage il y a quelques hommes qui, à mon avis, commettent cette erreur envers leurs femmes. Ils ont l’impression que leurs épouses sont là surtout pour les «emmerder ». Elles sont, d’après eux, le frein qui les empêche de faire tellement de «choses». Elles sont celles qui restreignent leurs libertés, celles qui rendent leurs vies monotones, sans surprises, conventionnelles… Ils ont l’impression que leurs femmes les ont enfermés dans les obligations, les responsabilités…
Ils ont l’impression que sans leurs femmes/prisons, ils pourraient faire plein de choses, accomplir des œuvres grandioses, parcourir le monde….
Ils se trompent. Ils voient leurs vies à travers un prisme déformant. Ils se déculpabilisent en prenant leurs femmes pour boucs émissaires.
Ils oublient qu’ils sont responsable de leurs choix, de leurs vies…
Messieurs, vos femmes ne sont pas là pour vous lier. Elles sont là pour vous aimer.
Pareil pour vos enfants. Ils n’ont pas demandé à naître. Mais lorsqu’ils sont là, vous en êtes responsables. Ils ne sont pas là non plus pour vous lier, mais pour vous aimer et être aimés de vous.
Messieurs, vos femmes et vos enfants sont LA VIE.
Je sais, certains me diront que c’est pareil pour les femmes. Peut-être bien, oui. Mais dans mon entourage, ce sont les hommes qui se plaignent et qui agissent comme des gosses. Les femmes assument beaucoup mieux.
En fait, je viens de me rendre compte que le message de ce livre est justement celui-ci:
Nos proches ne sont pas là pour nous lier. Ils sont là pour nous aimer, mais c’est à chacun d’entre nous d’y faire attention et de le comprendre. Parce qu’un jour, il sera peut-être trop tard….
Et si nous commettons des erreurs, si nous ne réalisons pas nos rêves, c’est peut-être-nous qui en sommes responsables!!!!!
Comme j'aimerais que certains comprennent ce qui est dit et y réfléchissent profondément. Mais vraiment, pratiquement, en pensant à ce que cela implique.
Personnellement, je crois bien plus à ce qui est énoncé ici qu'à ce qui est écrit dans d'autres livres!!!!!
Cast: Ahmad Zaki, Youssra, S. al-imary, Gamil Ratib, H. Ahmad
Under the burning sun of an Egyptian August, an airplane makes a
forced landing in the desert sand near an oasis. The twelve survivors
of the disaster construct a micro-society which is a reflection of
their own, with all its alliances and conflicts. This film was shown in
1987 at the Venice Film Festival.The director says, "I had been trying to make this film for more
than twenty years, ever since the very first days of the socialist
transformation. Even today I run into people that do not understand the
meaning of socialism or democracy. The oppressed, the workers, the
poor-some of these are even opposed to these ideas. Those who call most
vocally for socialism and democracy have been a very bad advertisement
for them. The idea for the film came from this, to present those
questions which ff we were able to answer we would find the answers to
many of the problems of our society, and perhaps we have succeeded."
Bien que le film date de 1986, le dialogue reste d'actualité. Je dirais même plus que jamais d'actualité.
Préjugés. Amalgames. Manipulations....
Ce sont toujours les mêmes discours, et surtout les mêmes insultes: molhid (athée) et kaffer (mécréant) et même démocrates!
Aujourd’hui, je vais partager avec vous une recette que m’avait apprise une amie polonaise qui habitait en Tunisie.
Elle faisait elle-même les raviolis, et c’était un vrai délice. Elle en faisait aux épinards, aux crevettes, au jambon, au poulet, à la viande… Je crois qu’elle pouvait faire des raviolis avec tout ce qui lui tombait sous les mains. Malheureusement, elle est partie!
En plus des différentes farces qu’elle préparait, elle avait une façon particulière de cuisiner certains raviolis, comme ceux qui étaient farcis à la dinde.
Depuis qu’elle n’est plus là, j’ai essayé d’utiliser sa recette avec plusieurs sortes de raviolis que j’ai trouvés sur le marché, comme par exemple les raviolis fromage/jambon:
Les meilleurs sont finalement ceux-ci: girasole al pomodoro e mozzarella que j’achète chez Carrefour.
Voici donc la recette polonaise:
- Hacher plusieurs oignons très très fins (personnellement je les passe au mixer), et les faire revenir dans un téfal dans du beurre.
- Couper du jambon de dinde fumé en dés. Le mettre à revenir avec les oignons.
- Faire bouillir de l’eau salée avec un peu d’huile. Y mettre les raviolis à cuire, mais très peu de temps.
- Essorer les raviolis, les ajouter à la poêle avec les oignons et le jambon.
Les commentaires récents