Je me devais de faire une petite mise au point et par conséquent, une petite note à la suite d'une note qui avait été publiée sur mon blog et une réponse qui avait été faite sur celui de Jacob.
Il ne faudrait pas que les anti-tous se réjouissent car nous ne sommes pas fâchés et pour encore de nombreuses années, Jacob et moi sommes amis, et frère et soeur.
Un petit mal entendu a été rectifié et comme dans toutes les familles, et même les meilleures familles, nous n'envisageons pas un déballage: nous avons retiré tous deux les notes en question.
Alors pour tous ceux qui auraient voulu assister à des mises à mort, des rancoeurs, des crachats et autres basses vengeances, je diraient simplement qu'ils peuvent toujours se gratter!
J’ai toujours été passionnée de lecture. Enfin… toujours, cela veut dire depuis que j’étais en 4ème année primaire. J’étais dans une école privée, et la plupart de mes camarades étaient issus de couples mixtes franco-tunisiens. Ils parlaient très bien français alors que je ne faisais que le baragouiner…
Mon enseignante de français m’avait recommandé de lire pour pouvoir améliorer mon niveau et rattraper mes camarades.
Et voilà qu’une passion est née…
Gamine, tout mon argent de poche passait dans les livres. Des livres, encore et encore…
Il y a eu une petite parenthèse à l’adolescence, où mon argent de poche était partagé entre les livres et les disques, à part cette période là, livres, toujours livres….
J’avais tellement exagéré que mon père ne voulait plus me donner d’argent pour acheter des livres. Il fallait presque que je lise en cachette.
Au lycée, j’étais toujours la responsable de la bibliothèque de ma classe. Cela me permettait de choisir en priorité les livres que je voulais lire, et de garder et donc lire, tous les livres qui n’étaient pas empruntés par mes camarades.
En plus, je lisais très rapidement (pas comme maintenant!!).
Il y a quelques années, il n’y avait pas autant de livres en vente à Tunis, il n’y avait pas encore un grand choix, et surtout presque pas de nouveautés. Alors, j’avais pris l’habitude de gérer la carence. Dès que je trouvais des livres intéressants, je les achetais. Pareil lorsque je partais en voyage en France, je rentrais avec mes bagages pleins de livres. Je me constituais mon stock de livres, puisque je ne savais pas quand je pourrais en avoir d’autres. Et souvent, je les lisais tous, et restait quelques temps sans lecture. J’en devenais folle. Parfois je me rabattais sur les Harlequins que l’on trouvait partout…, d’autres fois, je dévorais les magazines en attendant la reconstitution du stock.
Depuis 4 à 5 ans, nous trouvons d’excellents livres à Tunis. Des librairies de qualité ont ouvert leurs portes. Elles sont bien achalandées. Les livres sont récents…
Mais je n’ai pas encore appris à gérer l’abondance!!! J’achète, j’achète… mais le rythme de lecture ne suit pas. J’ai un retard monstre pour écouler mon stock!!!
En plus, ce blog me prend du temps, mais que faire, je suis addicted!!!
Et depuis un peu plus d’un mois, un autre fléau me prend aussi beaucoup de temps: Facebook. C’est une vraie calamité!
Mais j’achète quand même toujours des livres.
En plus, pour couronner le tout, je me suis mariée à un (presque) fou comme moi. D’ailleurs, lorsque nous sommes à Paris, en principe, nous passons tout le dimanche après-midi dans le rayon librairie de Virgin, sur les champs Elysées, et ce n’est que très difficilement que nous essayons de résister aux achats «compulsifs» de livres. D’ailleurs, je résiste un peu mieux que lui…
Chaque semaine, lorsque je vais faire mes courses chez Carrefour, je m’oblige à ne pas passer du coté du rayon librairie. Et vous pouvez me croire, ce n’est pas facile. Je tourne la tête du côté opposé exprès pour ne pas être tentée.
Dimanche dernier, je suis allée en librairie pour acheter un cadeau d’anniversaire pour Jacob. Résultat des courses, 2 livres pour Jacob, et 3 pour moi!!!!
Je crois que lorsque je suis dans une librairie, je suis pire qu’une femme «normale» dans une bijouterie. Ce qui est certain, c’est que je prend beaucoup plus de plaisir à être dans une librairie qu’à être dans une bijouterie (mon mari a beaucoup de chance, n’est-ce pas?).
Ces derniers temps, je me suis retrouvée à répertorier sur Facebook des livres que j’ai lu. Or, j’ai déjà répertorié 282 livres. A un moment, je ne comprenais pas pourquoi je le faisais. Après tout, qui allait consulter toute cette liste? Mais je n’arrivais pas à m’arrêter.
Et tout d’un coup, j’ai compris. Je prenais plaisir à faire cette liste.
En effet, j’allais chercher mes anciens livres pour les répertorier et à chaque fois, c’est une occasion pour les toucher, les feuilleter, lire quelques passages, me rappeler l’intrigue, me rappeler les circonstances dans lesquelles j’avais lu ces livres… Et ce sont des moments de pur bonheur.
Pour certains, c’est peut-être ridicule, mais pour moi, c’était vraiment du pur bonheur, un peu comme lorsque l’on regarde des anciennes photos sur un vieil album de famille.
Si parmi vous, il y a des fous comme moi, je voudrais vous conseiller une bouquiniste que j’aime beaucoup, il s’agit de «LIVRIS» au Colisée Soula. On y trouve un nombre impressionnant de livres. Des anciens, des neufs, des classiques, des contemporains… en français, en arabe, en anglais… pour grands et pour petits. Elle rachète vos livres, jeux, magazines…
J’y vais de temps en temps. Cela me permet d’échanger certains livres. En fait, je ne me débarrasse que de ceux que j’aime le moins, les autres, je ne peux pas. Heureusement que tous les lecteurs ne font pas comme moi, ce qui me permet à chaque fois de trouver mon bonheur…
Après Emma (1 et 2), c'est à mon tour de recevoir un joli cadeau de la part de notre ami bloggueur Cisseron.
Comme Emma, je dirais que mon coté "Narcisse" est très flatté par l'intérêt que suscite mon blog et mon personnage.
En ce qui me concerne, Cisseron n'a pas fait une analyse de mon blog proprement dite comme il l'a fait pour Emma, mais il a inventé l'histoire d'un petit garçon (?) qui essaye de comprendre mon personnage. C'est très touchant, je trouve.
Mais quelle patience et persévérance pour faire un tel travail, cela sous-entend quand même plusieurs heures de lecture!
Il est vrai que je reçois énormément de mails de lecteurs de mon blog. Il s'agit généralement de compliments.
Il y a environ 2 semaines, j'ai reçu une déclaration d'amour d'un jeune adolescent de 16 ans. Cela m'a vraiment étonnée, d'autant plus que 16 ans, c'est juste un peu plus âgé que mon fils. Ce mail était très sincère. Du coup d'ailleurs, je n'ai pas su y répondre. Lorsqu'il s'agit d'hommes adultes qui écrivent ce genre de mails, ma réponse ne tarde jamais: "je ne suis pas intéressée, je suis mariée et bien mariée", mais pour ce jeune homme, j'ai eu peur. Il parait tellement délicat que j'ai eu peur de le blesser ou de l'offenser.
Vous savez que je m’appelle Cisseron, j’ai un peu plus de trois mois et j’ai deux marraines.
La première s’appelle Emma Benji, mon papa a eu tout de suite le coup de foudre au point qu’il s’est mis en tête de lui consacrer un dossier, même qu’il y passait beaucoup de temps au point qu’il fallait que je pleure beaucoup pour qu’il daigne me donner le biberon ou me changer.
A chaque fois, il se lamentait en disant : « Je vais jamais y arriver si tu m’interromps sans cesse. J’ai besoin de concentration. Tu ne te rends pas compte de la masse d’articles que je dois lire pour bien faire ce travail ». Il est perfectionniste mon papa ! Trop d’ailleurs. Celà doit être son côté cérébral. Il faut toujours qu’il cherche des sujets de réflexions pour ses articles. Je fais vous faire une confidence : il me fatigue parfois.
Bon j’arrête de parler de mon papa. Toujours est-il que las de m’entendre pleurer dans mon berceau pour réclamer les attentions auxquelles j’ai droit, mon papa décide un jour de m’emmener chez une copine d’Emma Benji. J’étais impressionné car cette copine est une dame de très grande taille. D’ailleurs, ils sont tous très grands dans cette maison au point que moi, le petit poupon de trois mois, j’avais vraiment le sentiment d’être aux pays des géants.
Mon papa lui explique son problème et la grande dame qui avait l’air d’être une personne généreuse lui propose de s’occuper de moi le temps qu’il termine son travail. Elle l’encourage même : « tu vas voir cicisse, tu vas réussir et je suis sur que ça va lui plaire ». Je n’ai donc pas le choix. Il faut que je m’intègre dans cette famille d’accueil. Alors je lui fais la plus belle risette de ma vie. Et ça marche ! Je la voie toute attendrie. Elle me fait plein de bisous et elle carresse mes petits cheveux.
A partir de ce moment commence le plus beau séjour de ma vie au point que je considère cette gentille personne comme ma deuxième marraine. Je l’appelle Tata Massir car je me suis senti adopté. Et Massir parce que c’est le surnom qu’elle s'est donnée. Il veut dire « Destin ».
Notez bien que j’aurais pû l’appeler « Super Tata » parce que question activité elle s’y connaît ! Elle n’arrête pas.
Et souvent elle se lamente en disant : « Mais pourquoi mes journées ne font que 24 heures ! Il est 2 h du matin et j’ai encore 200 mails à lire ! ». Heureusement que mon papa ne vit pas avec elle car il serait complètement stressé, lui qui tient tant à sa petite vie tranquille. D’ailleurs, je me demande comment il fait son mari. Il est d’un calme, je vous dis pas.
En plus, Tata trouve le temps de lire plein de livres, d'aller voir des expositions, de sortir au cinéma ou au théâtre. Je ne sais pas comment elle fait. Surtout qu'elle trouve encore le temps de vous en parler dans son blog. Voyez, elle mérite bien son titre de « Super Tata » !
Ah oui, j'oubliai : elle aussi une activité professionnelle. Elle en parle très peu. Peut être que là, elle n'a vraiment pas le temps d'en parler.
Pour vous donner une idée de l'emploi du temps de Tata, je vais vous décrire une scène typique de la vie de Tata.
C’était le vendredi en fin d’après midi. Elle avait invité Emma Benji et deux de ses anciennes élèves.
Tata Massir : « voici le thé et les gâteaux, servez-vous, moi j’ai encore à faire sur mon ordinateur. De toute façon, il faut que je fasse régime. J’ai des kilos à perdre. »
Là, Tata, je ne suis pas d’accord ! Tes petits kilos en trop, moi je les aime bien car lorsque tu me serres dans tes bras, il n’y a pas d’angle vif pour me faire mal, c’est comme si j’étais couché sur un matelas très moelleux. Alors quitte ton ordinateur et vient manger. Et puis cela ne se fait pas !
Ah l’informatique ! C'est terrible ! Une fois qu’on a mis le doigt ça vous mange tout ! Il faut d’ailleurs que tu fasses attention Tata car ta santé va en pâtir. Rappelle toi le temps que tu as mis pour récupérer de ton angine. Je tiens à toi, tu sais !
De façon très diplomatique, Emma lui dit : « tu es adorable mais moi aussi j’ai quelques petits kilos à perdre alors est-ce que tu pourrais éventuellement t’arrêter quelques instants et goûter avec nous ce que tu as préparé. Nous ne pouvons pas manger sans toi alors …»
Tata Massir (en l’interrompant) : « … je termine ce petit travail et j’arrive ».
Pour patienter, Emma Benji lance un sujet de conversation. Elle raconte qu’elle a été contactée par une société qui lui propose de tester des produits, d’aller dans des avant-premières etc … Il s’en suit une discussion avec ses anciennes élèves.
Cependant, tous ces bons gâteaux me font saliver. Je commence à ouvrir la bouche pour dire que moi aussi j'ai faim même si je n’ai pas encore l’âge d’en manger. Mais, on ne fait pas attention à moi alors je pleure pour signaler le problème.
Tata se lève alors de son siège et me prend dans ses bras tout en continuant son informatique. Elle est trop forte Tata !
Alors Emma propose à Tata de préparer le biberon et elle va dans la cuisine.
Mais pendant ce temps, la discussion entre les deux anciennes élèves s’animent de plus en plus au point que Tata n’arrive plus à se concenter et elle commence à froncer les sourcils et me serre de plus en plus fort.
Et là, encore une fois, Emma vient à la rescousse de Tata. Elle revient dans le séjour et dit d'un ton sans appel : « arrêter de vous chamailler, ce n’est pas le lieu ».
Du coup, le niveau sonore diminue, elles se confondent en excuses et Tata peut enfin terminer son article et s’asseoir.
Emma lui donne mon biberon puis elle propose de servir le thé. Est-ce que le calme va revenir ?
Non ! Car l’une de ses élèves trouvent que le thé a refroidi.
Bon je vous passe la suite car elle n'ont pas arrêté de débattre sur la question de la température adéquate du thé, sur l'origine du thé de Tata, etc, etc ...
Tout ça pour vous expliquer que celà n’arrête pas chez Tata ! Il y a toujours des évènements. Je comprends pourquoi elle a tant d'idée pour alimenter son blog.
Toutefois, la journée de Tata est loin d’être finie. Après le départ d’Emma et de ses anciennes élèves, elle s’exclame : « les devoirs des enfants ! ». Ah oui, les enfants n’ont pas fait leurs devoirs cet après-midi. Oh là la, mais quand est-ce que la famille va manger ? La question turlupine un peu son mari. Cependant, Tata, c’est une sensible.
Elle devance l’inquiétude de son mari, en lui disant : « ne t’inquiète pas, ce soir on va manger chez un copain que je connais grâce à mon activité de blog ». Et malicieusement elle lui lance : « tu vois, elle est quand même utile mon activité de blog ! ». Là encore, je vous passe la suite car le débat est lancé entre Tata et son mari au sujet de son activité de blog.
C’est ainsi que le soir, nous sommes tous dans le restaurant de son copain. Et là, super discussion sur la religion.
Il faut dire que Tata elle sait y faire pour lancer des débats.
Pour la religion, elle a un truc. Vous voulez le savoir ?
Aller, je vous le révèle. Si elle sent que les gens ne sont pas asez toniques alors elle va commencer par une phrase du genre : « Si Dieu existe alors il ne peut pas se passer telle chose ou il ne peut pas permettre telle acte ou encore il ne peut pas faire de différence entre ... ».
Le succès est garanti à tous les coups car à chaque fois qu'elle commence par « Si Dieu existe » alors la moitié des participants sont capables de passer de l'état létargique le plus profond à l'état d'excitation extrême. Allez savoir pourquoi !
En tout cas, ce soir là (car ses journées ont quand même une fin), en me couchant, elle m'a dit en chuchotant à l'oreille : mon petit Cisseron, que tu sois chrétien, musulman ou juif, tu seras toujours un enfant de Dieu. Je n'ai pas bien compris mais je sentais que c'était super gentil alors j'ai souri avec un petit rire. Elle a été encore très émue et elle m'a fait plein de bisous.
Sinon, avant de me coucher, elle aime me raconter toujours une belle histoire. Par exemple : celle du petit garçon qui, par fierté, n'a pas accepté que Tata lui donne quelques sous pour qu'il achète le jouet qu'il désirait tant ou bien celle du vieux monsieur juif de 80 ans qui est la mémoire vivante du bâtiment où il habite. Grâce à sa voix douce je m'endore et je fais de beaux rêves.
Il faut aussi que je vous parle de l’humour de Tata. Elle aime beaucoup rire, Tata. Mais elle ne m’autorise pas tout le temps à les entendre ces blagues. Régulièrement, elle m’emmène dans la pièce à côté en me disant ce que je vais dire n’est pas pour les enfants. Et je suis condammé à entendre les personnes rirent à travers la cloison ! Bon, Tata, il faut quand même que je t’explique : à trois mois on peut tout entendre sur l’érotisme car les paroles rentrent dans une oreille pour en sortir de l’autre. Moi, je ne pense qu'à tes beaux seins qui pourraient remplacer avantageusement mon biberon.
Par contre, autant vous le dire tout de suite, il y a une forme d'humour qu'elle n'aprécie pas mais alors pas du tout ! Si vous faîtes des commentaires désobligeants sous un pseudonyme pour mieux la consoler en prenant un autre pseudonyme et qu'au bout d'un certain temps vous lui dites malicieusement : « coucou c'est moi ! ». Eh bien je peux vous dire que vous allez vous souvenir du pays !
Maintenant, il faut que je vous fasse une révélation. Tata aime beaucoup son mari et ses enfants mais elle a aussi un autre amour.
Son autre amour, c’est la Tunisie.
Elle a plein de livres de photographies ou de peintures sur son pays.
De temps en temps, Tata prend quand même le temps de souffler un peu.
Elle prend alors un livre et s’asseoit sur son canapé et elle le regarde.
Moi, depuis mon berceau, j’ai l’impression qu’il y a plein de souvenirs qui défilent dans ses yeux.
Je me demande à quoi elle peut penser.
Est-ce de la nostalgie par rapport à une époque qu'elle considérait heureuse ?
Tata, si c'est le cas alors je te comprends car tout ce que tu m’as montré de ton pays m’a plu.
Tu m’as dit aussi que mon papa allait bientôt venir me récupérer.
Cela me rend triste car j’ai passé des moments merveilleux chez toi. Je crois que moi aussi je vais éprouver de la nostalgie quand je serai de retour en France.
J’espère que je pourrai revenir un jour chez toi ou que tu viendras me voir chez mon papa.
Ami internaute, par cette petite histoire, j'espère vous avoir donné envie de parcourir le blog de Tata Massir et partir à la découverte de cette personnalité que je trouve fort attachante!
Je viens de recevoir cette blague par mail. Sa morale est....
A vous de juger...
Un jour, un bûcheron était occupé à couper une branche qui s'élevait au-dessus de la rivière. Soudain la hache tomba dans la rivière. L'homme pleurait si amèrement que Dieu lui apparût et lui demanda la raison de son désespoir. Le bûcheron lui expliqua alors que sa hache était tombée dans la rivière. A sa grande surprise il vit Dieu plonger dans la rivière et remonter une hache d'or à la main :
"Est-ce là ta hache?", Lui demanda-t-il.
Le bûcheron lui répondit : "Non".
Aussitôt Dieu retourna dans l'eau et revint cette fois avec une hache en argent : "Est-ce là ta hache?", Lui demanda-t-il à nouveau.
A nouveau le bûcheron lui dit: "Non".
A la troisième tentative, Dieu revint avec une hache en fer, et lui demanda à nouveau:
"Est-ce là ta hache?"
"Oui!", Lui répondit cette fois le bûcheron. Dieu, touché par l'honnêteté de l'homme, lui donna les trois haches. Le bûcheron rentra tout heureux à la maison. Quelques jours plus tard, le bûcheron longeait la rivière en compagnie de son épouse. Soudain celle-ci tomba à l'eau. Comme l'homme se mit à pleurer, Dieu lui apparût à nouveau et lui demanda la raison de son chagrin. "Ma femme est tombée dans la rivière", lui répondit l'homme en sanglotant.
Alors Dieu plongea dans la rivière et réapparut avec Jennifer Lopez dans les bras: "Est-ce là ta femme ?", lui demanda-t-il.
"Tu prends le risque de me mentir? Je devrais te damner!"
Le bûcheron l'implora: "S'il te plaît, Dieu, pardonne moi! Comment aurais-je dû répondre? Si j'avais dit 'Non' à Jennifer Lopez, la fois prochaine tu serais remonté avec Catherine Zeta-Jones. Si, à nouveau, j'avais dit 'Non', tu serais revenu avec mon épouse et j'aurais dit 'Oui'. A ce moment là, tu me les aurais données toutes les trois. Mais je suis pauvre et pas du tout en mesure de nourrir trois femmes. Ce n'est que pour cette raison là que j'ai dit 'Oui' la première fois.
La morale de cette histoire? Finalement, les hommes ne mentent que pour des raisons parfaitement honnêtes et totalement compréhensibles !
A 19h, j'ai publié une note pas particulièrement intéressante ou attirante, pourtant en même pas 3 heures, elle a attiré 277 lecteurs, essentiellement de l'étranger, mais de pays divers. Pourquoi??? Je n'ai rien compris.
Les premières minutes, j'ai cru à une coincidence, mais ensuite la tendance s'est maintenue.
Si quelqu'un y comprend quelque chose, prière m'expliquer. Cela n'est vraiment pas normal.
Radio Mosaïque recherche un "rédacteur web" pour le site mosaiquefm.net Profil demandé: - une bonne culture Internet - une maîtrise parfaite de la langue française (orthographe, grammaire, etc)
C'est un poste à temps plein, car il y a une partie modération qui nécessite une permanence. Contact: Faten M'tir E-mail: [email protected]
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