Je viens de m'apercevoir qu'une personne a pris le pseudo TonMassir, et qu'elle vote sur Tunisie-blogs.
Est-ce une coïncidence?
Peut-être bien, mais je ne le crois pas.
De toute façon, cela prête à confusion: entre Mon Massir et TonMassir, la différence est plutôt minime.
Je ne sais pas si cette personne a un blog ou si c'est juste une mauvaise plaisanterie. Toujours est-il que je vous demande de bien vouloir ne pas faire d'amalgames entre cette personne et moi, particulièrement si elle est de mauvaise foi.
L'avenir nous en dira un peu plus.
Update: Je viens de me rendre compte que je ne suis pas la seule dans ce cas. Il s'agit donc bien d'une imposture:توضيح على المصوّت اللي إنتحل صيفتي
Depuis une semaine, Hammamet a été désertée par tous les vacanciers. Nous sommes restés parmi les rares téméraires que ramadan n’a pas fait fuir, mais nous sommes quand même rentrés ce matin, une semaine avant la date de retour habituelle.
Dans notre résidence, la semaine passée, calme, calme, calme… Pratiquement tous nos voisins étaient rentrés à Tunis.
Sincèrement, en faisant un petit tour à Hammamet, j’ai eu mal au cœur pour les gens qui vivent justement de ces deux mois de vacances. Comment vont-ils faire pendant ces 8/9 ans où ramadan aura lieu en pleine «haute saison»? Comment vont-ils vivre? Où vont-ils trouver l’argent pour faire vivre leurs familles? Comment affronteront-ils les frais de la rentrée scolaire et les frais de l’Aïd?
Je ne m’inquiète pas trop pour les «grands» bien que le manque à gagner soit énorme sur 9 ans, mais je m’inquiète surtout pour les «petits».
Tous les saisonniers, petits épiciers, boulangers, fleuristes, vendeurs d’articles de souvenirs, vendeurs ambulants à la plage, potiers, gardiens de parkings, maîtres nageurs, serveurs, cuisiniers….
Sans oublier tous ceux qui vivent de la location des locaux, appartements, chambres….
Déjà cette année, et pour la première fois, j’ai vu des pancartes «à louer» accrochées un peu partout, ce qui est presque inimaginable pour Hammamet, lorsque l’on sait que d’habitude les locaux sont déjà réservés des mois à l’avance pour la période des mois de juillet et août, et parfois pour des loyers exorbitants.
Comment vont faire tous ces gens pour vivre? Où trouveront-ils l’argent? Où vont-ils travailler?
Nous avons discuté un peu avec un marchand de machmoums, il nous a raconté que chaque été, il venait de Kairouan passer l’été à Hammamet pour se faire de l’argent en vendant ses machmoums aux vacanciers. Il se plaignait déjà que l’été ait été trop court cette année. Que dira-t-il l’année prochaine? Et l’année d’après? Et encore l’année d’après?
Et ce ne sont sûrement pas les touristes qui viendront qui pourront compenser les manques à gagner de tous ces gens!
Je suis sure que Hammamet n’est pas la seule ville touchée. Cela doit être pareil pour Sousse, Mahdia, Jerba….
En janvier 2007, mon mari et moi étions au Caire. Nous étions dans notre chambre d’hôtel et nous zappions entre les différentes chaînes de TV égyptiennes. Nous étions tombés sur un barbu qui parlait du mois de ramadan et de ses bienfaits, et nous l’avions écouté. Et voilà qu’il s’est mit à dire que le mois de ramadan est tellement extraordinaire que tous les pays non musulmans nous l’enviaient. Il paraissait convaincu par ce qu’il disait, et il était aussi très convaincant. Je me rappelle que cela nous avait fait rire. Ah bon!!? Tous les pays non-musulmans nous envient le mois de ramadan?
Où a-t-il vu cela? Dans quel journal? Dans quel livre? Dans quelle interview? Dans quel site?
Les non-musulmans nous envieraient le mois de ramadan?
Et pourquoi donc?
Pour la désorganisation qu’il occasionne dans nos vies? Pour le rendement proche du zéro dans les bureaux, usines, ateliers…? Pour la mauvaise humeur des gens?
Passons.
Personnellement, à part le fait qu’au bureau, cela devient catastrophique, Ramadan ne me gêne pas, bien au contraire, cela permet d’allonger la durée de la séance unique, et c’est une occasion de se retrouver en famille pour dîner!
Ceci dit, Romdhankom mabrouk à tous, et profitez-en bien!!!!
P.S.: J'aime bien cette image pour la main de Fatma. Je trouve que cela fait un peu tunisien, ou du moins maghrébin.
Aujourd’hui, 19 Août 2009, je fête 20 ans de vie commune avec mon mari.Je dis Vie commune, parce que nous étions passés devant l’officier d’état civil le 01 Août 1989, mais le mariage n’avait été célébré que 3 semaines plus tard, et la vie commune n’avait donc commencé que le 19 Août 1989.
20 ans.
A l’époque où j’avais connu mon mari, il avait un frère qui était marié depuis 2 ans et demi. Et je trouvais cela génial. J’enviais ma belle-sœur qui vivait avec son mari, l’amour de sa vie, depuis 2 ans et demi. Je trouvais qu’elle avait une chance terrible: elle partageait la vie de son homme depuis 2 ans et demi. Autant dire une éternité!
Et voilà qu’aujourd’hui, cela fait 20 ans que je partage la vie de mon homme. 20 ans qui sont passé en un clin d’œil!
Je l’ai connu en Août 1988. A la plage, à Hammamet. Nous étions en fait voisin depuis 2 ans, mais je ne l’avais jamais vu ou remarqué. C’est normal il faut dire. Déjà à l’époque, je ne sortais à la plage presque que pour lire. Un livre dans les mains, comment aurais-je pu faire attention à nos voisins?
Mais j’avais quand même fait la connaissance d’une voisine. De temps en temps, nous partagions le même parasol. Elle m’avait proposé un jour de me présenter son beau-frère, mais j’avais refusé net. Je venais de rentrer de France où j’avais passé 6 ans, et je ne pensais pas du tout à faire des connaissances. Je m’étais en plus inscrite pour un nouveau DESS à l’IHEC, et je voulais poursuivre encore mes études. Et surtout, je voulais avoir du temps pour prendre mes marques à Tunis.
Je m’obstinais dans mon refus. Mon univers se limitait à mes livres, et je m’en contentais.
Pourtant un jour, alors que j’étais à la plage avec cette même voisine, elle a appelé ce beau-frère en question, me l’a présenté, et a trouvé le moyen de s’éclipser et de me laisser seule avec lui. J’avais enragé au début. Elle m’avait forcé la main et m’avait mise devant le fait accompli, mais j’avais vite décoléré.
Le beau-frère n’était pas mal du tout, et surtout, il avait l’air d’avoir la même passion que moi: la lecture.
Miracle, un homme qui aime la lecture!
Depuis toute jeune, je disais que mon premier critère pour me marier était la lecture. Je ne pouvais concevoir partager la vie d’une personne qui ne lisait pas!
A l’époque, j’étais en plein dans ma passion de l’Égypte, et particulièrement l’Égypte ancienne. Je lisais d’ailleurs ces jours-là un livre de Christiane Desroches Noblecourt "La femme au temps des pharaons".. Il le remarque, et le voilà lancé sur le sujet. J’étais éblouie par ses connaissances.
Je saurais par la suite qu’il est en effet passionné par la lecture, mais que ses connaissances de l’Égypte ancienne se limitaient à ce qu’il m’avait raconté ce jour-là pour me baratiner.
Bref, nous avions passé un bon moment ensemble. J’étais sous le charme, bien que j‘avais quand même des réticences.
En rentrant à la maison, j’en avais parlé à ma mère et mes sœurs, et je m’étais rendue compte que je devais être la seule personne à n’avoir jamais remarqué ce jeune homme à la plage! Étais-je à ce point aveugle?
Je vous épargnerais les détails de nos rencontres des jours suivants. Je vous dirais juste que 10 jours plus tard il me demandait en mariage. Et j’avoue que je n’attendais que cela. 10 jours, c’était déjà trop long!
Un an après, nous nous mariions.
Cela fait 20 ans.
Que dire après 20 ans?
Je dirais que j’avais fait le bon choix.
Bien-sûr, cela n’a pas toujours été rose. Il y a eu des moments de crises, des moments de doutes, des disputes, des cris, des hurlements… Mais il y a eu surtout des moments de bonheur. Des joies partagées. Des rêves. Des Projets… Et surtout 2 magnifiques enfants.
Alors, si c’était à refaire, refaisais-je le même choix?
OUI.
Sans aucun doute.
Pourquoi?
Parce que je pense que j’ai épousé l’homme qu’il me fallait. L’homme qui me tiendrait en haleine tout le temps. L’homme auprès de qui je ne connaîtrais pas l’ennui ou l’indifférence. Et surtout l’homme dont j’admirais et admire toujours l’intelligence.
Bien-sûr, il n’est pas parfait. Qui prétend l’être d’ailleurs?
Bien-sûr, il n’est pas parfait, mais il est l’homme qui me convient.
Il est le Lion* qui rugit, je suis le petit crabe* qui s’agrippe à sa crinière.
Il est la cigale, je suis la fourmi.
Il est l’extraverti, je suis l’introvertie
Il est le sociable, je suis la solitaire.
Il est le stratège, je suis la travailleuse.
Que puis-je dire encore?
Il est le «fou», je suis la raisonnable.
Il est l’extravagant, je suis la «conventionnelle».
Il est l’imprévisible, je suis l’organisée.
Nous sommes les 2 extrêmes qui s’attirent.
En fait, nous nous complétons. Chacun d’entre nous tire l’autre vers un juste milieu.
Sans lui, je risque de m’enfermer avec mes livres, mes films, mon ordinateur…. D’avoir de rares amis…. Il me permet de sortir, de voir des gens… de ne pas être « sauvage » comme disait ma mère lorsque je vivais encore avec mes parents.
Sans moi, il risquerait de ne pas avoir les pieds sur terre. Il risquerait de s’étourdir dans les sorties, les fêtes…
Je suis son port d’attache, dit-il. Son équilibre.
Toutes ces différences ne posent-elles pas problèmes parfois?
Oui, c’est certain, parfois ça coince. Mais avec le temps, ces problèmes se sont atténués, voire même disparus. La compréhension mutuelle s’est accrue. La façon de voir les choses s’est rapprochée. En fait, paradoxalement, la première année de vie commune a pratiquement été la plus dure, chacun devant apprendre à vivre avec l’autre. En faisant le parallèle avec l’être humain, je dirais qu’au tout début, c’était le difficile apprentissage de la vie à deux, ensuite l’enfance et son insouciance, l’adolescence et sa crise, et j’espère que là nous entamons l’âge adulte, forts de toutes nos expériences.
Malgré nos différences, ce qui nous uni, est une façon commune de voir la vie, ce sont des valeurs et des principes communs. Des croyances communes. Des rêves communs. Des ambitions communes.
Il était là tout à l’heure alors que j’écrivais cette note, et je lui ai posé la question: «d’après toi, qu’est-ce qui a fait que nous avons tenu 20 ans?».
Il a répondu: «c’est parce que je t’aime». Il a ensuite corrigé: «c’est parce que nous nous aimons.»
Et c’est vrai. C’est exactement cela qui nous permis de rester ensemble: l’amour.
Elle se marie pour une durée déterminée, pouvant même être de quelques minutes.
L'accord est verbal.
Le montant d'une dot à payer par le pseudo-mari est fixé.
Pas de domicile conjugal.Ils vont consommer le mariage soit chez elle, soit chez lui, soit à l'hôtel!!!
Le mariage est secret.
Le but du mariage: la jouissance sexuelle.
Après la relation sexuelle, le mariage prend fin.
Pas d'obligations, pas de droits...
Bye bye. Ciao. A bientôt.
Alors qu'en pensez-vous: mariage? Prostitution?
Ce qui me sidère, c'est que j'ai vu plusieurs vidéos de barbus qui critiquent la Tunisie, ses femmes, son Code du statut personnel....
J'en ai vu une où un type crie au scandale parce qu'il a apprit que nous avions des bordels. Pour lui, le comble, la Tunisie légalise la prostitution.
Que font-ils eux alors?
Au moins, chez nous les choses son claires: le mariage et la prostitution sont deux choses différentes (en principe!).
Au moins chez nous, il y a des bordels contrôlés par l'État et qui permettent à ceux qui ne peuvent pas faire autrement d'avoir des rapports sexuels.
A un moment, le journaliste lui demande quelles sont les raisons pour un homme de se marier de cette manière, et elle répond que c'est pour ne pas pêcher.
Quelle hypocrisie!!!
C'est à dire qu'au lieu d'aller voir une prostituée, il se marie. Il y a une différence! Même s'il se marie pour 1 heure et paye une dot!
Ne vous y trompez pas!!!!
Et elle aussi, quelle hypocrite!
Elle dit que si elle ne se mariait pas, elle serait une maitresse ou une pute, alors que de cette manière, elle reste une épouse honorable. Mon œil!!!!!!
"Ex-enfant prodige, le violoniste Gideon Davies continue de donner
des concerts dans le monde entier avec le même succès. Jusqu'au jour
où, victime d'un trou noir, il ne peut plus jouer une note. Seule la
psychanalyse pourrait le sauver. C'est en entamant son journal, en
replongeant dans ses souvenirs qu'il pourra comprendre ce qui lui est
arrivé. Retrouver ce qu'il a enfoui au fond de sa mémoire, comme la
mort de sa sœur trisomique, assassinée vingt ans auparavant par sa
nourrice, ou comme la disparition de sa mère lorsqu'il n'était qu'un
enfant... Parallèlement, une équipe de Scotland Yard enquête sur la
mort violente de deux femmes écrasées par un chauffard. Et l'une
d'elles est justement la mère de Gideon."
984 pages en 3 jours. Presque pas de plage ni de sorties…. Je lisais. Je ne pouvais me détacher de ce livre. Cela doit faire des années que je n’ai pas lu un livre dont le suspense est aussi captivant.
Un crime est commis en tout début du livre, mais on reste en haleine jusqu’aux toutes dernières pages, et même jusqu’à la dernière ligne pour apprendre enfin le pourquoi et le comment de ce crime.
Un foule de suspects, tous pourraient être le criminel, mais qui l’est vraiment?
L’histoire s’articule petit à petit. Les enchevêtrements se dénouant petit à petit. Et où on s’aperçoit que la même histoire peut être vue et vécue de différentes façons, chacun voyant et vivant la situation à sa manière, de son angle de vue, qui n’est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus. Chacun étant subjectif, jugeant les gens et les situations en fonction de lui-même et en fonction de ses intérêts, ses peurs, ses angoisses, ses espoirs….
Ce livre, en plus d’être un policier haletant, est aussi un ivre psychologique. La manière d’être de chacun est expliquée, décrite, disséquée… Ses pensées les plus intimes sont étudiées. Ses comportements sont expliquées....
Je ne connaissais pas cet auteur. Ce livre m’avait été recommandée par la propriétaire de «Livris*», et comme d’habitude, elle a été de très bon conseil.
- Il passe où ce soir Georges Wassouf? - Au Calypso. - C’est combien le billet? - Je ne sais pas, je sais qu’au carré VIP, la table de 8 personnes est à 4.000d, y compris Vodka et champagne. - Ce n’est pas normal qu’à 2 ou 3 jours de ramadan, les gens boivent encore de l’alcool! - Ah bon? Et alors? En quoi est-ce que cela te dérange? - Non, ce n’est pas normal, c’est un manque de respect total. L’État devrait l’interdire! - Excuses-moi, c’est un manque de respect par rapport à qui? Et pourquoi l’État devrait interdire l’alcool à l’approche de Ramadan? - C’est un manque de respect envers les gens qui font le ramadan, et l’État devrait l’interdire puisque la Tunisie est un pays musulman. - Tu veux dire que les gens qui sont actuellement au Calypso entrain de boire de l’alcool sont entrain de te manquer de respect, toi, qui est assis à ta terrasse, là maintenant? Et puis, cela veut dire quoi un État musulman? - Oui, c’est un manque de respect envers un mois saint. - Si je prends là maintenant un verre de vin avec toi, je te manquerais donc de respect? Et toi, tu ne manques pas de respect envers la liberté de ces gens pour qui le mois de Ramadan n’est pas saint? Tu ne manques pas de respect envers ces gens qui veulent avoir la liberté de boire jusqu’au dernier jour? Tu ne manques pas de respect envers la liberté individuelle de ces gens qui ont fait le choix de ne pas pratiquer? - Nous sommes un pays musulman!!! - Donc d’après toi, aucun respect n’est du aux Tunisiens qui ont choisis de ne pas pratiquer???? - L’État devrait intervenir! - Donc pour toi, l’État devrait promulguer des lois interdisant aux gens qui veulent ne pas pratiquer, ou qui n’ont pas la foi, ou qui ne sont pas musulmans (je pense là aux tunisiens non musulmans, et il en existe) de boire de l’alcool, de s’habiller comme ils l’entendent, de manger pendant le mois de ramadan, d’ouvrir leurs magasins pendant les heures de la prière….??? Finalement, le respect n’est du qu’aux personnes qui d’après toi sont des personnes musulmanes au vrai sens du terme, tel que tu l’entends toi? Bravo, c’est cela la liberté individuelle et le respect d’autrui!!!!
Le comble, c’est que ce type qui parle aujourd’hui de respect est un tout nouveau pratiquant. New new. Il y a encore quelques mois, il était alcoolique. Qu’il ne boive plus, et qu’il suive la voie de Dieu, c’est très bien. C’est peut-être même la meilleure chose qui lui soit arrivée à titre individuel. Depuis qu’il s’est «rangé», son couple va beaucoup mieux, et je lui souhaite tout le bien du monde. Mais ce qui m’embête, c’est que ces gens, souvent nouvellement «convertis», se mettent à juger autrui et à leur dénier la moindre liberté individuelle. Quoi que l’on dise, la religion et sa pratique doivent rester un choix personnel, qui ne concerne que chaque créature et son Dieu. ONLY GOD CAN JUDGE ME!
Ce qui m’a étonnée, c’est que cette conversation a eu lieu devant mes beaux-parents. Ce sont quand même de vielles personnes et on pourrait croire qu’elles seraient encore plus sévères. Particulièrement ma belle-mère qui est très très croyante et pratiquante. Or, les deux se sont mis à défendre la liberté de chacun de faire ce dont il a envie.
Ma belle-sœur a alors rétorqué que l’époque Bourguibienne est dépassée et que les choses devraient changer. Mon beau-père lui a répondu que justement Bourguiba avait raison, et que les choses devraient évoluer dans le sens qu’il avait donné: la liberté. La liberté de pratiquer ou non. Et le respect des gens les uns envers les autres.
Après tout, pourquoi certains voudraient prendre la place de Dieu et juger leurs semblables? Les a-t-il délégué pour faire cela en son nom? Leur a-t-il demandé leur aide? N'est-il pas capable de s'occuper lui-même de ses créatures???
Que chacun reste à sa place, et Dieu saura reconnaître les siens!
Je vais t'expliquer encore une fois: Tout ce qui est à toi est à nous deux. Tout ce qui est à moi est à moi.
C'est quand même pas difficile à comprendre, non?
Lorsque j'entends parfois des époux, des frères et sœurs, des associés... parler ou se chamailler, cela me fait rire. Un grand nombre d'entre eux n'ont pas encore compris ce que COMMUNAUTÉ ou PARTAGER veulent dire!
Tant mieux pour les avocats et tous les auxiliaires de justice!!!!!!!
- 500g de nouilles n°1 (ou spaghettis ou autre) - 1,5kg de fruits de mer nettoyés (seiches, moules, clovisses, crevettes...) - 2 têtes d'ail - 1 botte de persil, à hacher très finement. - 3/4 d'un bocal de piments rouges (filfil bar laabide) - huile d'olive à l'ail
Dans une grande poêle, écraser la moitié de l'ail et faire revenir dans un peu d'huile. Ne pas laisser roussir. Ajouter les seiches et la moitié du persil et laisser cuire à feu doux.
Entre temps, commencer à faire cuire les nouilles.
Dans la poêle, lorsque les seiches sont cuites, ajouter l'ail, le persil et les fruits de mer restants. Faire revenir un peu.
Égoutter les nouilles encore al dente, et les mettre dans la poêle. Mélanger le tout. Ajouter les piments et l'huile à l'ail selon le gout de chacun.
Voilà, c'est prêt.
Personnellement, j'utilise en principe des crevettes déjà décortiquées. Mais mardi dernier, j'avais des invités, je n'avais pas trouvé de moules et de clovisses, alors j'ai laissé les crevettes telles quelles, c'était plus jolie.
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