Comme il a raison. Il exprime mon opinion. Parfois j'ai l'impression que les femmes tunisiennes ont tellement pris l'habitude de leurs droits qu'ils leurs semblent immuables. Pourtant comme il est facile de les perdre!
Les Tunisiennes face à l’égalité : je t’aime, moi non plus…
Par Nizar BAHLOUL
C’était avant-hier, c’était leur anniversaire. L’occasion pour fêter nos femmes. Encore une fois. Et encore une fois, le sujet revient sur la table. Comme chaque année. Et comme chaque année, on applaudit leur émancipation. Ce n’est même pas un zeste d’autosatisfaction que l’on observe dans ces applaudissements, c’est un excès.
Assurément, nos femmes sont heureuses. Grâce au Code du Statut Personnel et aux acquis sans cesse renforcés sous l’ère de Ben Ali, elles ne cessent de s’applaudir, de s’enorgueillir, de se réjouir de ces acquis. D’en être fières.
Comparées aux "demi-citoyennes" de plusieurs autres pays arabes, nos femmes sont incontestablement les plus émancipées. Mais faut-il voir au dessous (sans jeu de mots) pour se positionner ?
Comparées à leurs mères et à leurs grand-mères, nos femmes sont incontestablement plus avancées. Mais faut-il voir derrière (encore sans jeu de mots) pour se positionner ?
De leur liberté, de leur égalité, de leur émancipation, nos femmes semblent bien satisfaites. Et pourtant… Force est de constater qu’en matière d’égalité et d’émancipation, beaucoup reste à faire. A l’individuel et au collectif.
A l’individuel. Quand on voit le nombre de femmes voilées, sans cesse croissant, ou encore le nombre de celles qui usent et abusent de tenues vestimentaires provocantes pour arriver à leurs fins, il y a de quoi s’interroger sur la mentalité de ces Tunisiennes qui continuent encore, en 2009, à croire que leurs mèches de cheveux vont titiller la libido et les pulsions de l’autre moitié de leurs concitoyens.
Cette mentalité de se faire expliquer le texte religieux par des barbus enturbannés et rétrogrades, alors que le prophète, lui-même, était ouvert et émancipé.
Cette mentalité de mettre en avant un décolleté ou une paire de jambes pour décrocher un quelconque service.
Celles-là, de l’égalité, elles n’en veulent point entendre parler. C’est à l’homme de régler l’addition au café ou au restaurant, de subvenir aux besoins du foyer et d’être l’argentier de leurs envies. Pour elles, la femme est inférieure à l’homme et le demeurera.
Au niveau collectif, beaucoup a été réalisé en termes d’égalité, mais beaucoup reste à faire dans notre société.
En dépit de leurs diplômes, le plafond de verre demeure dans plusieurs entreprises et les postes de haut niveau restent réservés aux hommes. Exemple parmi d’autres : une seule de nos banques compte une femme à sa tête. Au niveau politique, il a fallu une décision présidentielle pour appliquer une sorte de discrimination positive et pour qu’il y ait un quota minimal de femmes parmi les élus du peuple.
Au niveau syndical, c’est la honte quand on sait que le bureau exécutif de l’unique syndicat en Tunisie ne compte aucune femme.
Mais là où le bât blesse, et où l’égalité doit être instaurée au plus tôt, c’est assurément la question de l’héritage.
En 2009, dans cette Tunisie qu’on dit émancipée, la femme n’a toujours pas droit au même héritage que l’homme. Parce que certains exégètes veulent nous faire croire qu’un texte religieux le stipule. Et à cause de ce texte, qui mérite une interprétation plus ouverte (pourtant, l'Ijtihad est bien recommandé en Islam) et conforme à l’époque dans laquelle nous vivons, voilà bafoué l’un des droits les plus justes des Tunisiennes. De nos jours, et au moins sur le papier, on peut voir un idiot inculte hériter le double de sa sœur intelligente et … émancipée.
Le sujet a été évoqué à moult reprises et, dernièrement, Kalthoum Bornaz lui a consacré un film. Elle fera l’objet de violentes critiques de la part de certains journaleux qui lui lancent le texte religieux sur la figure. Une éminente professeure, sur le même sujet, a même été condamnée à mort par des apprentis-muftis anonymes.
A suivre leur logique, les femmes devront rester à la maison et s’occuper des enfants. Cela fera reculer le chômage, disent-il…
A suivre leur logique, les femmes ne peuvent être ni juges, ni avocates et encore moins imam(e)s. Et pour qu’elles puissent être témoins, elles doivent se présenter en binôme.
A suivre leur logique, les femmes peuvent être répudiées et flagellées et subir la polygamie de leur époux.
Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas couper la main aux voleurs, fouetter les mécréants et pendre les apostats ?
L’émancipation (relative) de nos femmes ne doit en aucun cas leur faire oublier le danger de régression qui les guette. Elles représentent la moitié de la force active de notre pays et, à ce titre, elles méritent un traitement identique de l’autre moitié des citoyens de ce pays.
Leur intelligence, leur force, leur valeur ajoutée ne peuvent être remises en cause pour quelque raison que ce soit, aussi sacrée soit-elle.
La Tunisie n’a pas de ressources naturelles et encore moins de rente pétrolière. Sa principale force, elle la tire de ses enfants. Tous ses enfants, sans exception de genre.
Les acquis actuels ne sont pas mis en doute. Heureusement ! Mais ces acquis doivent être consolidés davantage. Ce n’est pas l’impression qui se dégage aujourd’hui. Celui qui n’avance pas recule. Pour pouvoir avancer, certains de nos hommes et plusieurs de nos femmes doivent cesser de se comparer à des pays vivant encore au Moyen-âge, exiger, jusqu’à l’obtenir, un traitement égal de la part de la République à tous ses citoyens. Et pour obtenir ce traitement, il ne faut pas baisser les bras et crier "autosatisfaction".
Bonne fête Mesdames.
Pourquoi c'est pas une femme qui écrit un article sur ce sujet ?
Rédigé par : 1Dinheiro | 11/03/2009 à 14:23
franchement ce "Bahloul" écrit d'excellents articles ! 100% d'accode avec lui !
Rédigé par : el manchou | 11/03/2009 à 15:12
Vraiment je suis tres déçu. j'ai pas lu l'article mais c'est de la honte qu'il y a des gens qui pensent comme ça. Normalement, je répond pas à ce bizarre article car il ne mérite pas ça. Mais, que fais je et il y a ecore des idiots en tunisie!!
Rédigé par : tounsi 7or | 11/03/2009 à 15:22
En lisant un tel article, je ne cesse à me demander si c'est un musulman qui parle ou bien une autre personne qui essais de se vanter et laisser croire qu'il maitrîse le sujet de la femme.
Cher monsieur, laisse moi t'éclaircir une chose:nous sommes des arabes musulmans qui doivent avant tous se retourner vers le coran,nos lois et notre légende avant de parler de quoiques ce soit.
Franchement, en lisant votre article, je suis si sûre que vous n'avez pas lu le coran.
c'est malheureux cher monsieur de parler d'égalité d'héritage et de femme qui peut être Imam et pleines d'autres idées fausses.
Tu peux demander ça à dieu tous d'abord?
Vous dites n'importe quoi. Voilà je suis une femme sans voile et qui travaille et je vous dis ça car vous dites vraiment n'importe quoi.
Rédigé par : Najoua | 11/03/2009 à 15:36
C'est vrai que les postes de haut niveau restent réservés aux hommes (la majorité). Est c'est tout à fait naturelle puisque elle devrait s'occuper de ses enfants en plus de son travail. Donc lorsque elle se trouve face à un choix de sacrifier sa vie professionnelle ou sa vie privé, elle choisie volontairement la première.
Vous avez dit que la principale force de Tunisie, elle la tire de ses enfants. mais si la femme travaille 12h par jour et l'homme pareille, il y aura personne d'apte à développer ce pays, dans 50 ans.
je suis une femme qui ne demande pas à être égale au homme, mais je demande la justice. Et ce sont deux sujet différents.
il n'y a pas une égalité entre les pauvres et les riches, ou les handicapés et les saints par exemple, mais c'est la justice qu'il faut instaurer.
Après avoir lu cet article, je m'attends à ce qu'un jour les femmes cesse d'accoucher et demande que l'homme doit le faire de façon égale avec elle (1 ou 2 enfant pour chacun dans le même couple)
Rédigé par : Imen | 11/03/2009 à 15:54
Après la lecture de cet article, j'avais l'idée qu'il y avait encore des gents qui luttent "pour" l'égalité entre les femmes et l'homme, qui sont naturellement inégales!!! Dans un tel débat, pour jouer le rôle du juge il fallait être objectif (ou objective!!) soit donc ni Femme ni Homme...!
Rédigé par : Said | 11/03/2009 à 16:09
Merci pour ce "Bahloul" de jouer le rôle du juge !!!!
Rédigé par : Said | 11/03/2009 à 16:12
Dommage que son texte commence par une vision très manichéenne et négative de la femme, soit voilée donc rétrograde, soit "dévoilée" donc forcément aguicheuse, ça gâche son "plaidoyer".
Je voudrais simplement dire à Najoua qu'être tunisien ne veut pas forcément dire être musulman. Chaque individu peut vivre sa foi dans une société laïque qui tend à assurer l'égalité homme/femme tant sur le plan du droit à l'éducation, au travail, à l'implication dans la vie politique et sociale qu'au niveau d'une question comme celle de l'héritage.
Quant à la conclusion d'Imen, je la trouve parfaitement incohérente. Se mobiliser pour instaurer une société plus juste, qui ne lèse aucun individu à cause de critères tels que le sexe, la couleur, la race,etc. ne veut pas dire que l'on aspire à chambouler les lois de la nature, qui n'ont rien à voir avec les lois humaines.
Mesdames, aimez vos filles autant que vos garçons, autant que vous aimez Dieu, et donnez à chacune d'elles avec le soutien de leur père, votre famille, les possibilités d'accéder à l'autonomuie et défendez leur droit à l'égalité des chances.
Rédigé par : Mad Djerba | 11/03/2009 à 16:25
Le femme hérite moins que l'homme c'est vrai! Mais tu oublie que l'homme dois dépenser de l'argent de l'héritage pour nourrir sa famille alors que ce qu'hérite le femme n'appartient qu'à elle et elle seule.
Un homme marié qui hérite, est obliger de partager son héritage avec sa famille et sa femme en autre.
Une femme qui hérite ne doit pas partager son héritage!
Donc finalement je croix que ça équilibre bien la disproportion entre ce que reçoit un homme et une femme.
Massir, au lieu de te cabrer contre la religion, tu devrais au contraire t'instruire avec autant d'acharnement que tu en as pour défendre le cause des femmes!
Sache que quand le Prophète était vivant, les femmes et les hommes priaient ensemble! La première personne à avoir embrasser l'Islam est une femme. Que la personne la plus cité dans le Coran est une femme aussi,... Que l'islam a libéré la femme.
Si aujourd'hui le monde musulman est dans une telle M..., ce n'est pas la faute de l'islam mais des hommes et des femmes!
Honnêtement ne soit pas contre l'Islam et au contraire, puisque tu te dis intelligente, instruite, moderne, ouverte,... apporte donc ton savoir à améliorer la perception des gens sur l'Islam.
Enfin Rabby Yahdi!
Rédigé par : Kiffe Grave | 11/03/2009 à 16:39
Réponse rapide. J'essayerais de revenir le plus tôt possible.
Concernant l'héritage, ton raisonnement était juste il y a quelques années. Plus aujourd'hui. Aussi bien l'homme que la femme subviennent aux besoins du ménage. Ils travaillent tous les deux et prennent en charge les frais du ménage tous les deux. Et je crois même que c'est devenue une obligation légale pour la femme.
Ensuite, cela dépend aussi du régime matrimonial. Jusqu'à très récemment, le régime matrimonial de droit commun en tunisie était la séparation des biens. Aujourd'hui, je crois qu'il est celui de la communauté réduite aux acquêts, bien que la plupart des couples choisissent la séparation. Donc, lors d'un héritage, chacun des deux époux garde son héritage pour lui.
Concernant la deuxième partie de ton commentaire, je me demande où tu vois dans cet article un acharnement quelconque contre la religion?
Apparemment, nous avons des lectures très différentes.
mais même si c'était le cas, je dirais que je ne m'acharne dans aucune de mes notes contre l'islam, mais seulement contre l'interprétation que veulent en donner certains. Or ces gens-là ne sont en aucun cas habilités pour imposer leurs interprétations.
Ton exemple est d'ailleurs très clair, à l'époque du prophète, l'interprétation des textes était bien plus ouverte et tolérante que l'interprétation que certains pseudo-imamns veulent donner aujourd'hui.
Par rappport à son époque, l'islam avait accordé des droits aux femmes, droits qu'aujourd'hui certains veulent lui dénier.
Ce n'est pas l'islam qui est en cause, mais bien ce que certains hommes veulent en faire.
Par ailleurs, dans cet article, l'auteur parle aussi de ces femmes qui s'exhibent à moitié nues et qui moyennent leurs faveurs. pourquoi vous n'en parlez pas. Pourquoi cette lecture sélective?
Rédigé par : Massir Destin | 11/03/2009 à 16:52
J'ai réagi par rapport à tes réactions par par rapport à cet article.
Je te Kiffe Grave mais cela ne veux pas forcément dire que dois être de ton avis et être d'avis opposé!
Je voulais juste te dire qu'une femme intelligente dois mettre son intelligence au service d'une cause! Apporter des solutions, et pas seulement appuyer la ou ça fait mal.
Je préfère montrer à mon enfant comment dessiner que de lui taper sur la main parce qu'il a refait la déco de sa chambre!
Rédigé par : Kiffe Grave | 11/03/2009 à 16:59
très bon exemple à la fin, ça résume bien l'enjeu.
Rédigé par : 1Dinheiro | 11/03/2009 à 17:13
A Massir, je crois que ça va marcher !
Dans la vie et d’une façon générale, on en a que ce qu’on mérite. La femme tunisienne ne cherche que les solutions en forme de cadeaux, alors que, si y´a quelqu’un qui va la libérer, c´est elle même par elle même, d´ailleurs les cadeaux qu´elle a eu n’ont contribué qu´a son « oisifisme », il faut qu´elle arrête d´espérer les cadeaux et apprenne a arracher ses droits et ce n’est pas l´homme qui va la libérer et surtout pas avec ses cadeaux empoisonnes, notre femme ressemble de près aux partis d’opposition !!!
Cela dit, il serait préférable de débattre sur le consensus général qui concerne toutes les normes de la société, parce que, les seuls et uniques remèdes à tous nos maux sont : la liberté d’expression, l’ouverture d’esprit et la démocratie. D’ailleurs ces journées à la con qui ne finissent pas n’ont aucun sens, nos luttes et nos objectifs méritent des 365 jours par an !
Rédigé par : zorboustra | 11/03/2009 à 17:23
J'ai trouvé. Il y a bien une obligation légale pour la femme tunisienne de contribuer aux charges du ménage.
Art 23 du Code du Statut personnel, qui stipule dans son dernier alinéa: "La femme doit contribuer aux charges de la famille si elle a des biens."
Rédigé par : Massir Destin | 11/03/2009 à 18:58
@Najoua : arrête de raconter n'importe quoi. Je suis Tunisien mais je ne suis ni musulman ni arabe. Les arabes ont été juste des colonisateurs parmi d'autres.
Sinon pour l'histoire de ton coran, c'est ton droit d'y croire mais en Tunisie il y a une loi, point barre.
Rédigé par : el manchou | 11/03/2009 à 21:07
Massir, tu as raison.
Faudrait changer ça, Comment on fait,
Rédigé par : Kiffe Grave | 11/03/2009 à 21:40
Qui te dit qu'il n'y a pas eu de femmes qui ont écrit à ce sujet?
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 00:46
Et tu peux commenter et donner un avis sur un article que tu n'as même pas lu?
Waow!
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 00:47
Je suppose aussi ya Najoua que tu voudrais qu'on abolisse la monogamie et qu'on rétablisse la répudiation!
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 00:59
Je ne savais pas qu'en Tunisie nous travaillions 12h par jour!!!!
Demander l'égalité signifie demander l'égalité des droits... et des obligations aussi d'ailleurs, signifie avoir les mêmes chances, les mêmes opportunités...
L'égalité n'est jamais symétrique.
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 01:23
Je suis d'accord avec toi, mais par ailleurs je me demande s'il ne fait pas cela exprès.
Parfois, je me demande moi-même s'il y a un juste milieux entre ces 2 genres de femmes. Du moins à Tunis.
Mais je ne pense pas qu'il voulait dire qu'une femme voilée est rétrograde et une femme dévoilée est aguicheuse. Du moins, ce n'est pas ainsi que je comprends cet article. Je pense qu'il voulait forcer le trait pour mettre en relief ce paradoxe de la femme tunisienne. Moi-même je ne comprends cette "dérive" qui existe des deux cotés. Il y a quelques années, ces deux extrêmes étaient l'exception. La femme tunisienne était la femme qui aspirait à faire des études supérieures, à faire une belle carrière... En fait la femme tunisienne était ambitieuse mais son ambition reposait sur elle-même.
Aujourd'hui on a l'impression que tel n'est plus le cas. On a l'impression que la femme tunisienne est quelque part perdue entre deux modèles. C'est du moins la majorité des femmes. Et c'est dommage.
Je sens que ce que je dis est confus. Je suis désolée, je n'arrive pas à bien expliquer ma pensée.
Pour le reste, je suis totalement d'accord avec toi.
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 01:34
Je répète souvent autour de moi le proverbe chinoix qui dit qu'il vaut mieux apprendre à son fils à pêcher que de lui donner un poisson.
Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit ici.
Apporter des solutions?
Ah oui?
Lesquelles et comment?
Encore faut-il aussi identifier le mal ou le problème!
Il ne s'agit pas ici d'appuyer là où cela fait mal. Non, il s'agit aussi de communiquer sur un problème et qui sait faire prendre conscience qu'un risque existe de perdre ces droits, qui contrairement à ce que certain(e)s croient ne sont pas définitivement acquis.
Il s'agit de ne pas s'endormir sur ses lauriers et de continuer à dire que tout va bien dans le meilleur des pays... Parce que ce n'est vraiment pas le cas!
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 01:48
Marhaba bik ya si Zorboustra. Apparemment tu as résolu tes problèmes techniques. heureusement!
Tu as raison.
Rédigé par : Massir Destin | 12/03/2009 à 01:53
Ils ont été publiés dans leurs journaux intimes
rangés dans un tiroir avec des boules de naphtalines
Rédigé par : 1Dinheiro | 12/03/2009 à 11:28
le coran n'est pas celui de najoua!!
bref!
dans notre reconstitution "dostour", la tunisie est un pays musulman!! et la reconbstitution passe avant la loi biensur et c'est dans notre "loi".
donc en tunisie il n'y a pas uniquement une loi point barre!!
Bonne route vers l'enfer. et bonne continuation
Rédigé par : Imen | 12/03/2009 à 18:14