Malheureusement, mon mari et moi sommes d'un âge où certains de nos amis divorcent. C'est désolant, mais c'est ainsi.
Or, un homme entre 40 et 50 ans qui divorce, n'a pas envie de se faire moine. Après plusieurs années de mariage, il a l'impression de retrouver sa "chère liberté" et a envi de rattraper le temps "perdu". Ce qui en d'autres termes signifie "draguer, draguer, draguer...".
Problèmes en vue pour les couples mariés.
Lorsque cet homme divorcé sort avec ses copains, cela devient très délicat. Il est fraîchement divorcé, que faire lorsque ses copains ont une femme?
Décemment, il est obligé de rester correct. Or, cela fait des années qu'il se retient, à quoi sert donc sa chère liberté retrouvée, s'il est obligé d'être encore correct?
Il a envie de s’éclater enfin. Comme un affamé qui se retrouve devant un énorme festin, on ne peut lui demander de jeûner encore.
De temps en temps, mais plutôt rarement, il prend son mal en patience et supporte les intruses, mais généralement, il va essayer de sortir en solo, ou entre hommes avec ses copains mariés.
C’est à ce moment là que les épouses apprécient beaucoup moins. Cela serait pour un dîner innocent, entre copains, une franche rigolade… Oui, ok, bien sûr pourquoi pas?
Mais le copain divorcé, fraîchement libéré, n’a aucune envie d’un dîner sympa en tête à tête entre mecs, ce qu’il veut lui, c’est s’éclater! Et pour s’éclater, il veut des femmes!!!
Que faire???
Grand problème.
Il entraîne ses copains avec lui?
Ennuis en vue pour les copains avec leurs femmes.
Sincèrement, je ne connais pas beaucoup de femmes qui accepteraient avec joie que leurs chers maris sortent avec leurs copains "célibataires" pour aller dans les bars à putes ou les boites... Vous imaginez qu'elles puissent dormir tranquillement dans pareilles situations?
THEME DE LA FORMATION: Devenir aussi intelligent qu'une femme (donc être parfait).
OBJECTIF PEDAGOGIQUE: Cours de formation permettant aux hommes d'éveiller cet organe, appelé CERVEAU, dont ils ignorent l'existence.
PROGRAMME: 4 MODULES OBLIGATOIRES
MODULE 1 : QUITTER L’ENFANCE 1. Apprendre à vivre sans ma mère (2000 heures) 2. Ma femme n'est pas ma mère (350 heures) 3. Je donne toute ma paie à ma femme (550 heures) 4. Comprendre que le foot n'est qu'un sport, et Ronaldo un crétin (500 heures) 5. Ma femme n'est pas mon infirmière 6. Ma femme n'est pas ma bonne 7. Je ne suis pas le plus beau, le plus intelligent, le plus instruit… (ma mère a donc tort à ce sujet).
MODULE 2 : LA VIE A DEUX 1. Avoir des enfants sans devenir jaloux (50 heures) 2. Arrêter de dire des niaiseries quand ma femme reçoit ses amies (500 heures) 3. Vaincre le syndrome de la télécommande (550 heures) 4. Je ne pisse pas à côté. Je m'avance un peu, j'oublie ma prétention... (exercices pratiques avec vidéo 100 heures) 5. Je ne transforme pas la salle de bains en piscine municipale lors de ma douche... 6. Comment se rendre jusqu'au panier à linge sans se perdre? (500 heures) 7. Comment survivre à un rhume sans penser être à l'article de la mort? (200 heures) 8. Savoir s'habiller tout seul, choisir ses vêtements tout seul, ne pas faire semblant de ne pas savoir où se trouve l'armoire.
MODULE 3 : DETENTE ET LOISIRS 1. Repassage en 2 étapes: a)1 chemise en moins de 2 heures b) idem pour les autres articles (exercices pratiques) 2. Le ménage... une activité familiale et valorisante. 3. Je mémorise les journées de sortie des poubelles. 4. J'apprends par coeur la définition du mot " ASPIRATEUR" : "appareil ménager, servant à aspirer les poussières, les menus déchets" (j'en profite pour gagner du temps en regardant le Niveau 1 du module 4 ) 5. Savoir se servir d'une éponge... 6. Savoir ramasser les dégâts après une séance de bricolage... 7. Réviser son français : le féminin de "assis devant la télé" n'est pas "debout devant la cuisinière"
MODULE 4: COURS DE CUISINE
Niveau 1 (débutant): Les appareils ménagers: - "ON"= mettre en marche - "OFF"= arrêter (... l'appareil et rien d’autre)
Niveau 2 (avancé): Mon premier "quick soupe" sans brûler l'eau. (Exercices pratiques : Faire bouillir l'eau avant d'ajouter les spaghettis)
Niveau 3 (expert): Faire du café sans oublier ni l'eau, ni le café, et ne pas utiliser le soluble qui est incompatible avec la cafetière.
Niveau 4 (best off): Savoir servir le café, sans en foutre la moitié à côté...
RENDS VITE TON DOSSIER D'INSCRIPTION, LES PLACES SONT LIMITEES !!!!
J’ai lu deux livres de cet auteur. L’été dernier, c’était «L’attentat», que j’avais lu d’une seule traite, et cet été, c’était au tour de «Les sirènes de Bagdad».
Je n’avais pas entendu parler de ce livre, il nous avait été offert.
Je l’ai lu. Et j’ai adoré.
Ce livre se situe sur le plan de l’individu. Le problème israélo-palestinien au plan de l’individu. Pas de politique.
Plusieurs problèmes sont posés:
- l’intégration
- le délit de faciès
- la vie
- Voir de l’extérieur (comme nous), et vivre de l’intérieur.
L’auteur ne prend pas parti. Il dénonce le comportement des uns et des autres.
Il s’agit d’un chirurgien Arabe, naturalisé Israélien. Il est bien intégré dans la société israélienne. Un jour, il découvre que sa femme est une kamikaze qui s’est faite exploser dans un restaurant.
Cet homme, bien vu par son entourage, bien respecté par ses voisins, collègues et amis, se retrouve du jour au lendemain sur le banc des accusés, il se trouve du coté des indésirables. Presque tous lui tournent le dos.
Tout de suite, cet homme qui recevait les honneurs est maltraité par les autorités israéliennes. Il n’est plus considéré en sa qualité d’israélien, il redevient un Arabe.
Il lui restera quand même deux amis juifs israéliens qui ne le rejetteront pas. Sur le plan individuel, l’amitié Israélo-palestinienne est possible.
Pourtant cet homme en menant une vie exemplaire et loin du tumulte se croyait à l’abri. Je pense que quelque part, cet homme, c’est nous. Nous sommes au loin, bien à l’abri chez nous, nous jetons un coup d’œil aux problèmes israélo-palestiniens, mais notre regard ne peut être objectif, car nous les voyons de l’extérieur. Nous les voyons de loin, et nous «oublions» que pour certains, ces problèmes sont la réalité, et non des reportages sur les journaux.
Nous vivons nos vies tranquillement, bien à l’abri, sans rien ressentir dans notre chair.
Cet homme se retrouve tout d’un coup de l’autre coté du miroir, de l’autre coté du mur, et il est obligé de faire face à une réalité qu’il voulait ignorer.
Par les termes péjoratifs qu’utilise l’auteur pour parler des «militants» palestiniens, on sent qu’il ne les approuve en aucun cas. Mais par ailleurs, il voudrait essayer de comprendre pourquoi ils en sont arrivés au point de sacrifier leurs vies.
Il est certain que les kamikazes ne sont pas tous des fous. Les palestiniens veulent se venger des humiliations subies. Même si les attentats sont bien sûr inacceptables, que reste-t-il à ceux qui ont tout perdu à part la lutte armée?
L’auteur ne veut pas leur trouver d’excuses ou de justificatifs, mais il veut essayer de comprendre. Même s’ils ne trouve pas les réponses, il pose de bonnes questions.
Je l’ai lu en trois jours. Cette fois-ci, l’auteur nous parle de l’Irak.
Toujours coté humain. On vit avec un jeune homme, qui de simple bédouin, vivant tranquillement dans son village, se transforme en «terroriste» potentiel.
Petit à petit, on vit la transformation qu’il subit. On comprend cette transformation. On pourrait presque se demander si ces pauvres irakiens ont d’autres choix que la lutte armée.
Dans les sirènes de Bagdad, bien qu’ayant des mots très durs envers les soldats américains, bien qu’il soit complètement contre la politique américaine qu’il dénonce d’ailleurs sans indulgence, l’auteur essaye de montrer que l’homme occidental reste un humain avant tout. Et cet humain mérite respect pour cette condition d’humain. Dans cette guerre aussi, l’individu n’a rien à voir avec la politique.
L’auteur n’est pas non plus indulgent envers les «résistants» irakiens, il décrit aussi leurs dérapages et leurs bavures, même si pour lui, ils sont plus excusables que les américains.
Une discussion à la fin du livre, entre deux intellectuels arabes, l’un, le docteur Jalal, qui était pro-occidental et qui a changé de camps, et l’autre, Mohammed, écrivain, qui prône un humanisme certain, montre où se situe l’auteur.
« - Tu as le cul entre deux chaises, Mohammed. C’est une situation très inconfortable. Nous sommes en plein choc des civilisations. Il va te falloir choisir ton camps.
- Je suis mon propre camp.
- Prétentieux! On ne peut pas être son propre camp, on ne fait que s’isoler.
- N’est jamais seul celui qui marche vers la lumière.
- Laquelle? Celle d’Icare ou celle des papillons de nuit?
- Celle de ma conscience. Aucune ombre ne la voile.»
Dans ces deux livres, l’auteur ne se mêle pas de politique. Il ne prends pas non plus parti pour un camps ou un autre. Son camps, c’est l’être humain.
Seul l’être humain l’intéresse. Et c’est ce que j’apprécie chez lui.
Dans "l’attentat", l’auteur essaye de se mettre à la place des israéliens et à la place des palestiniens. Il veut montrer que l’individu n’a rien à voir avec la politique. L’individu ne fait que la subir.
Dans «les sirènes de Bagdad», à la fin du livre, le jeune bédouin, terroriste en puissance, bien préparé et bien déterminé, n’ira pas jusqu’au bout de son acte.
Il va prendre conscience de l’horreur de sa situation après une discussion avec le docteur Jalal et après avoir observé de simples gens, des occidentaux ordinaires, qui n’ont eux non plus rien à voir avec la politique et les guerres. Des gens qui vivent simplement leurs vies.
« … Toute guerre a ses limites. Sauf que là, on n’est plus dans les normes. Qu’espère-t-on après l’apocalypse? Qu’est-ce qu’il va rester du monde hormis la pestilence des cadavres et le chaos? Le bon Dieu lui-même, S’en arracherait les cheveux jusqu’à ce que Sa cervelle lui dégouline sur la figure… ».
Je viens de terminer la lecture de «La deuxième épouse» de Fawzia Zouari.
C’est le 3ème livre que je lis de cette écrivain tunisienne. J’aime beaucoup son style.
Les 3 livres que j’ai lus parlent de femmes maghrébines immigrées en France.
Dans ce dernier livre, Fawzia Zouari trace les portrait de 4 femmes différentes: les 3 co-épouses d’un algérien, et la romancière elle-même.
3 générations de femmes, mais 4 portraits saisissants de femmes maghrébines.
L’histoire est inspiré d’un fait divers réel: un homme trouvé mort s’est révélé polygame.
Outre les problèmes posés par la virginité, la polygamie et l’infidélité, j’ai trouvé ce livre intéressant parce qu’il montre le changement de la mentalité des femmes maghrébines, en particulier les immigrées, mais aussi celles qui sont toujours dans leurs propres pays.
Halima, première épouse, et la plus âgée de toutes, a vécu son enfance et sa jeunesse en Algérie. Sa vie s’est déroulée dans le cadre familial, et son ambition était le mariage.
On l’a mariée à son cousin, sans histoire d’amour, ni rien. Un accord familial, point.
Le mariage pour Halima était un but en soi, un moyen d’acquérir le statut de femme et d’accéder à un peu de liberté.
En France, Halima ne s’intéressait pas particulièrement à son époux, et ses absences lui convenaient. Cela lui permettait d’avoir du temps libre à consacrer à elle-même. Elle ne demandait pas grand-chose à son mari. Le mari n’était qu’un moyen de «s’émanciper».
Halima pour moi représente un peu nos grands-mères et nos mères. Dès leur naissance, on leur parlait du futur mari, comme si c’était un but en soi. Le but de leur vie. Elles étaient nées pour se marier, et c’est seulement grâce au mariage qu’elles deviendraient de vraies personnes.
A l’instar de Halima dont le départ pour la France lui a ouvert de nouveaux horizons, nos mères ont eu aussi la chance d’accéder à un peu d’instruction qui leur a permit d’échapper à leur condition. Mais le mari était pour elles LE moyen de s’émanciper.
Rosa et Farida représentent ma génération. Des études supérieures, une profession, une certaine indépendance. Le mariage ne devient plus ni un but, ni un moyen. Le mariage devient Amour, Partage, Communion… La polygamie et l’infidélité deviennent donc impensables.
Lorsqu’elle découvre l’infidélité de son mari, ou du moins sa polygamie, Rosa tente de se suicider. Elle aimait son mari et la trahison pour elle était intolérable.
Concernant Lila, je trouve qu’elle représente une grande partie des maghrébines de la génération actuelle. Peut-être plus les immigrées que celles qui sont restées au pays. Mais moi, personnellement, il m’a semblé reconnaître une mentalité et une façon de penser qui deviennent fréquentes de nos jours. C’est la génération de jeunes femmes qui trouvent que le mariage est une échappatoire et une "échelle".
Elles feraient tout pour se trouver un homme. Cet homme est pour elles le moyen d’accéder à une indépendance par rapport à la famille, mais aussi et surtout, il est celui qui va leur permettre d’accéder à la «consommation». Il est celui qui va permettre de «vivre », mais vivre veut dire profiter matériellement. Acheter, sortir… Peu importe l’âge de cet homme, peu importe sa situation familiale…
Ces jeunes femmes n’ont aucune éthique, elles marcheraient sur des cadavres s’il le fallait. Tout ce qui importe, c’est le profit matériel qu’elles tireraient de cet homme.
Personnellement, je pense que malheureusement, c’est une réalité de nos sociétés. Une grande partie de nos jeunes femmes n’ont plus l’ambition de réussir, de faire carrière, de s’enrichir intellectuellement. Les rêves et ambitions des femmes tendent à changer, et c’est bien dommage.
Je trouve que c’est une régression. Après avoir appris à compter sur elles-mêmes et à être sincères, de nombreuses femmes sont aujourd’hui devenues fourbes et comptent sur un homme pour réaliser leurs rêves et ambitions.
Bien sûr, ce n’est que mon avis personnel. Il n’est basé que sur des constatations personnelles.
She came home early and found her husband in their bedroom making love to a very attractive young woman.
The wife was VERY upset! "You are a disrespectful pig!" she cried. "How dare you do this to me - a faithful wife, the mother of your children! I'm leaving you. I want a divorce straight away!"
And he replied: "Hang on just a minute luv, so at least I can tell you what happened"
"Fine, go ahead", she sobbed, "but they'll be the last words you'll say to me!"
And he began:
"Well, I was getting into the car to drive home and this young lady here asked me for a lift.
She looked so down and out and defenceless that I took pity on her and let her into the car. I noticed that she was very thin, not well dressed and very dirty.
She told me that she hadn't eaten for three days! So, in my compassion, I brought her home and warmed up the enchiladas I made last night, the ones you wouldn't eat because you're afraid you'll put on weight.
The poor thing devoured them in moments.
Since she needed a good clean-up I suggested a shower and while she was doing that I noticed her clothes were dirty and full of holes so I threw them away. Then, as she needed clothes, I gave her the designer jeans that you have had for a few years, but don't wear because you say they are too tight.
I also gave her the underwear that was your anniversary present, which you don't wear because I don't have good taste.
I found the sexy blouse my sister gave you for Christmas that you don't wear just to annoy her and I also donated those boots you bought at the expensive boutique and don't wear because someone at work has a pair like them..."
He took a quick breath and continued:
"She was so grateful for my understanding and help and as I walked her to the door she turned to me with tears in her eyes and said :
"Please........do you have anything else that your wife doesn't use?'
Des heures à suivre leurs moindres péripéties. Des heures à rester coincée devant mon écran. Des heures à vivre avec eux, à penser à eux, à m'inquiéter pour eux...
Des heures à me poser des centaines de questions avec eux. Qu'est donc cette île? Qui sont les Autres? Que veulent-ils? Quel est donc ce monstre/fumée? Vont-ils s'en sortir? Sont-ils morts? Est-ce l'Enfer? Pourquoi se sont-ils tous rencontrés auparavant? Pourquoi toutes ces coincidences? Comment l'avion a-t-il été retrouvé entier? Qui est Naomie? Pourquoi Ben agit-il de la sorte? Qui est Jacob?...
Questions, questions, questions....
A la fin de la saison 1, aucune réponse.
C'est pas grave, il y a la deuxième saison. Et puis les personnages sont tellement attachants. Je veux savoir ce qu'il va leur arriver. Je patiente.
A la fin de la saison 2, aucune réponse, mais plus de questions.
C'est pas grave, il y a la troisième saison. Et je m'attache encore plus aux personnages. Je les connais mieux. Je les ai vu vivre avant leur arrivée sur cette île. Que va-t-il leur arriver? Qui va survivre? Quel est leur avenir?...
Et puis, pour les fifilles comme moi, il y a des histoires d'amour qui se nouent...
La troisième saison, je pense qu'enfin, le dénouement approche. Les réponses vont arriver. Je suis scotchée à mon écran. Je vis avec eux, je vibre avec eux, je tremble pour eux...
Hier soir, je ne supportais même plus que l'on m'adresse la parole. Je suis avec eux sur l'île et pas chez moi. Episode 17. Episode 18. Episode 19.... Episode 23.
03h30 du matin. Episode 23. Enfin. Enfin...
Et...
Déception.
C'est fini? C'est pas possible. Il y a une erreur. Je vérifie. Je revérifie. Pas de doute. L'épisode s'appelle d'ailleurs "the final". Cela fini comme cela???
Qui va répondre aux questions?
Est-ce moi? Peut-être que c'est moi qui ne comprends pas?
Vous avez compris, vous???
Help!!!
Aidez-moi à comprendre!!!
A moins que cela soit exprès pour donner une chance à une éventuelle saison 4.
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